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Atelier de lecture "Performing Opposition" #14

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30. Avril 2015 - 16:00» 18:00
Jeudi 30 avril 2015, 16h-18h


Cette année, une nouvelle série d'ateliers de lecture propose de mener collectivement des recherches autour de la problématique "Performing opposition", qui confère son titre au prochain Printemps des Laboratoires, événement international qui aura lieu en juin 2015 aux Laboratoires d’Aubervilliers.

Les oppositions remarquables naissent dans l'espace public. Les oppositions reconfigurent les modes d'actions qui y sont employés aussi bien par les artistes que par les activistes, lesquels travaillent à les rendre visibles. 
À travers les situations antagonistes, celles d'où émergent différentes formes d'oppositions, de contestations, d'appropriations et de créations, se construisent des lieux ouverts, partagés, comme autant d'espaces publics que nous souhaitons interroger.

Cette série d'une quinzaine d'ateliers d’analyse de textes explore des contextes très divers, tels que les manifestations et les révoltes qui se sont égrené dans le monde ces dix dernières années, ou l’espace virtuel d'Internet qui a largement renouvelé le paradigme de l’espace public, constituant à la fois un outil de soutien et d’amplification de ces révoltes, tout autant qu’une source de réserve et de renseignements de données privées et une plateforme idéale de contrôle.

Nous nous intéresserons à la façon dont les artistes travaillent directement ces questions, préférant aux territoires des institutions artistiques l’espace public qui les déborde ou les contient, inventant des formes de contestations et de confrontations comme autant d'outils d'expériences communes radicales.


Ces ateliers sont ouverts à tous, ils ont lieu le jeudi tous les quinze jours de 16h à 18h. Pour obtenir les textes étudiés, les compte-rendus de session, ou vous inscrire, contactez Clara Gensburger: c.gensburger@leslaboratoires.org


Dates: les jeudi 16 et 30 octobre, 13 et 27 novembre, 11 décembre, 8 et 22 janvier, 5 et 19 février, 5 et 19 mars, 2, 16 et 30 avril (de 16h à 18h)

 

Labo des Labos

Audio Research Program

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Programme de recherche audio

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Morphing Castalia a consisté en une semaine de conférences, d'interviews et de workshop, organisés par Glass Bead aux Laboratoires d'Aubervilliers. Produites en collaboration avec les participants du workshop, chacune de ces interventions vient augmenter le programme de recherche audio disponible sur le site internet de Glass Bead: glass-bead.org. Vous trouverez l'ensemble des enregistrements ci-dessous (en anglais):


Andrée Ehresmann, The Glass Bead Game revisited: weaving emergent dynamics with the Memory Evolutive. Systems methodology, 29 septembre 2014 - 52'11.

Olivia Lucca Fraser, Artificial Intelligence in the age of sexual reproduction: sketches for xenofeminism, Paris, 29 septembre 2014 - 73'17''

Andrée Ehresmann et Olivia Lucca Fraser interviewées aux Laboratoires d'Aubervilliers, Paris, 30 septembre 2014 - 59'34''

Martin Holbraad, Anthropology, metaphysics, art: ethnographic aporia at the limit, 1er octobre 2014 - 81'02''

Franck Jedrzejewski, Ontological fields: a categorification of space, 1er octobre 2014 - 62'08''. Traduction: Axelle Dallot

Franck Jedrzejewski interviewé aux Laboratoires d'Aubervilliers, Paris, 2 octobre 2014 - 34'26''. Traduction: Axelle Dallot

Frederik Stjernfelt, Diagrammatical reasoning and natural propositions, 3 octobre 2014 - 63'20''

Giuseppe Longo, The constitution of meaning: from mathematical structures to organisms (e ritorno), 3 octobre 2014 - 74'33''

Giuseppe Longo et Frederik Stjernfelt interviewés aux Laboratoires d'Aubervilliers, Paris, 4 octobre 2014 - 77'10''

Journal "Notes sur les mouvements"

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Dans le cadre de sa résidence, Romana Schmalisch édite un journal gratuit, Notes sur les mouvements, pour rendre public, au fil de plusieurs numéros échelonnés sur un an, le développement du processus de recherche et de production de son projet, les pistes de réflexions et discussions engagées, ainsi que le matériel collecté.


Notes sur les mouvements #1 (télécharger)
24 pages, français / anglais, avec la participation de Jean-Marc Piquemal et Tangui Perron. Septembre 2013.
couverture notes sur les mouvements
Le premier numéro se propose d’analyser  les relations entre la danse et les mouvements ouvriers des années 1930 ainsi que la manière dont la pratique chorégraphique a pu être utilisée dans l’industrie afin d’en accroitre la rentabilité. Il questionnera la valeur d’une performance dans le travail et son équivalent en salaire, considérera différentes formes d’abstraction (notations et dessins) et méthodes d’entraînement.


Notes sur les mouvements #2 (télécharger)
24 pages, français / anglais, avec la participation d'Anne Querrien et Marina Vishmidt. Mars 2014.

Le deuxième numéro fait écho aux deux dernières performance, La Chorégraphie du travail #2 et #3, et s’intéresse plus particulièrement à l’éducation. Dans un entretien, la sociologue Anne Querrien évoque les normes sociales et le système scolaire. Dans son texte, Marina Vishmidt, auteure basée à Londres, revient sur un de ses essais qui analysait la relation entre danse contemporaine et dématérialisation du travail. En regard de la recherche menée par Romana Schmalisch sur la formation professionnelle et la performance, elle se demande ce qui a changé dans cette relation, alors que, dans notre situation de post-crise, l'emploi est de plus en plus facteur de violence latente.


Notes sur les mouvements #3 (télécharger)
24 pages, français / anglais, avec la participation de Farida Gillot, Robert Schlicht et la classe 2C du lycée Jean-Pierre Timbaud. Septembre 2014.

Ce troisième numéro aborde, entre autres, les enjeux de l’apprentissage d’un métier, les relations entre élèves et enseignants, les méthodes d’éducation, et comment ces systèmes reflètent certaines normes sociales.

Journal "Notes sur les mouvements"

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During her residency at Les Laboratoires, Romana Schmalisch is editing a free publication, Notes sur les mouvements, that follows the development of the research process and production in different stages, and will present the initial thoughts, collected materials and discussions with various people during a period of one year.


Notes sur les mouvements #1(download)
24 pages, French / English, with contributions by Jean-Marc Piquemal and Tangui Perron. September 2013.
couverture notes sur les mouvements
The first issue analyses the conjunction of dance with Labour Movements of the 1930s (New Dance Group) as well as its use in the industry to enhance efficiency (Laban/Lawrence); it looks at the vague image that we have from various professions, researches the value of the performance of a work and its equivalence in the wage, and considers different forms of abstractions (notations and graphics) and training methods.


Notes sur les mouvements #2(download)
24 pages, French / English, with contributions by Anne Querrien, Marina Vishmidt and Romana Schmalisch. March 2014.

The second issue of the journal reflects on the last two performances La Chorégraphie du travail #2 and #3 with a special focus on educational question. In an interview, sociologist Anne Querrien discusses social norms and the school system. In her text, the London-based writer Marina Vishmidt revisits an earlier essay which considered the relationship between contemporary dance and the de-materialization of labour. With reference to Romana Schmalisch’s inquiry into skills training and performance, what changes about this relationship as all employment becomes more and more of a brutal hypothesis in our post-crisis conditions?


Notes sur les mouvements #3 (download)
24 pages, French / English, with contributions by Farida Gillot, Robert Schlicht and the 2C class from the lycée Jean-Pierre Timbaud. September 2014.

This third and last issue deal with what is at stake when one learns a job, with relationships between teachers and students, with various methods of education, and with the way these systems reflect certain social norms.

Présentation

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Le Kung Fu




Le Kung Fu retrace le récit de l'enfance de Dieudonné Niangouna dans le Congo des années 70 et 80, époque où le cinéma, alors qu'il faisait défaut sur la place publique, était pour le metteur en scène et auteur congolais un fil conducteur puissant entre son parcours artistique personnel, son histoire familiale et la construction d'une parole habitée par la fiction cinématographique. Des films de Kung Fu et populaires aux films d'auteur, le cinéma fut pour lui matière à se construire une identité, à incarner le verbe dans l'action, jusqu'à la rencontre avec le théâtre. De cette expérience demeure l'urgence de l'écriture que l'auteur revendique comme nécessairement soluble dans le temps - pour un théâtre éphémère donc - la fabrication des images, également furtives, indissociables de la mise en scène et du passage à l'acte, sur scène. Cette urgence autant que la mémoire qu'elle construit, Dieudonné Niangouna l'a mise en partage avec les Albertivillariens qui se sont associés à ce projet en rejouant les scènes de leurs films cultes. Dès lors, ce sont plusieurs récits qui s'entrecroisent, de multiples géographies qui s'entremêlent et la question même de l'identité de chacun qui surgit. 

Le Kung Fu a été créé aux Laboratoires d'Aubervilliers en juin dernier après plusieurs mois en résidence de création et d'écriture aux Laboratoires. Le texte Le Kung Fu a été publié en septembre aux Solitaires intempestifs.


Tournée:
13, 14 juin: Les Laboratoires d'Aubervilliers (France)
6, 7 novembre: Théâtre des Salins (Martigues, France)
15, 16 novembre: Künstlerhaus Mousonturm (Francfort, Allemagne)
19, 20, 21 novembre: Les Laboratoires d'Aubervilliers (France)
20, 21 janvier 2015: Théâtre de Bonlieu (Annecy)
Février 2015: Théâtre de Vidy-Lausanne (Suisse)


Image: Christophe Raynaud de Lage, Le Kung Fu (Les Laboratoires d'Aubervilliers, juin 2014)


Avec le soutien du Département de la Seine-Saint-Denis

Mots-clés: 

  • résidence
  • théâtre
  • 2014

Presentation

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Le Kung Fu




Congolese writer and director Dieudonné Niangouna explores urgent theatre with poetic, vivid, acerbic text imbued with his personal story and the conflicts that his country has traversed. In Aubervilliers, he will return to the cinematographic experiences that marked his childhood, in particular, Kung Fu films. “I told the stories of films to my brothers, my sisters, big and little, to my cousins, aunts, uncles, friends, strangers, old people, babies and even to dogs. I told the story of some two thousand five hundred films in my life, without tiring of it. Every day of my life, between the ages of five and 16” (Dieudonné Niangouna, author’s letter of intention).

The first phase of the project is the writing of a text in which Dieudonné Niangouna tells his film stories in the Congo in the 70s and 80s. This working period is punctuated by meetings with the public in Aubervilliers, people who want to take part in the project, and each person is invited to propose their favourite scenes from films and re-enact them. Then, Dieudonné Niangouna films the Aubervilliers residents turned actors for a day in their own films. They can choose the site in Aubervilliers where they want to film the classic scenes. A film crew will follow them as they reconstruct the scene. More than a title, “Kung Fu” is a concept that references Dieudonné Niangouna’s story and his connection with this style of cinema, as a Kung Fu fan in his childhood, but also the personal story that we all create with cinema, whether we are artists or not, children, adults young and old.
On stage, the solo piece Le Kung Fu written and performed by Dieudonné Niangouna, tells his own story interspersed with the film sequences created in Aubervilliers with the participation of residents. Several shows are scheduled at Les Laboratoires in June (and November) 2014, before the work moves on to where it is scheduled in other theatres and festivals, in France and other countries.


Tour:
13, 14 June: Les Laboratoires d'Aubervilliers (France)
6, 7 November: Théâtre des Salins (Martigues, France)
15, 16 November: Künstlerhaus Mousonturm (Francfort, Allemagne)
19, 20, 21 November: Les Laboratoires d'Aubervilliers (France)
20, 21 January 2015: Théâtre de Bonlieu (Annecy)
February 2015: Théâtre de Vidy-Lausanne (Suisse)


Image: Christophe Raynaud de Lage, Le Kung Fu (Aubervilliers, June 2014)


With the support of the Département de la Seine-Saint-Denis

Mots-clés: 

  • residency
  • théâtre
  • 2014

Exposition "Degré 48" au CNEAI

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29. Novembre 2014 - 10:00» 26. Avril 2015 - 18:00
Du 29 novembre 2014 au 26 avril 2015



Entre avril 2013 et février 2014, Daniel Foucard a proposé aux Laboratoires d’Aubervilliers 10 soirées manifestes s'inscrivant dans le cadre de sa résidence d'écriture aux Laboratoires et intitulées Degré 48. L’atelier g.u.i. a été invité à produire les « imprimés » des 21 manifestes écrits et performés tout au long de ces dix soirées par les artistes, écrivains, poètes, plasticiens, commissaires d'expos et éditeurs participant à Degré 48…
L'exposition Degré 48 au Cneai présente également les dispositifs éditoriaux de documentation et d’impression imaginés par l’atelier g.u.i, remettant ainsi en jeu les techniques et les modes d’assemblages des captations vidéos et photos des soirées, les fichiers sources des artistes, les manifestes écrits, ainsi que la documentation produite par le public.

Une exposition produite par les Laboratoires d'Aubervilliers, le CNEAI et BANC! Scénographie et mise en lumière en collaboration avec Tom Huet.

Avec: A Constructed World, L'Agence du doute, Bertrand Belin, Stéphane Bérard, Olivier Bosson, Mehdi Brit, Sonia Chiambretto, Magdalena Chowaniec, Paolo Codeluppi, Patrick Corillon, Antoine Dufeu, David Guez, Frédéric Héritier, Véronique Hubert, Dominiq Jenvrey, Laure Limongi, Valérie Oberleithner, Fabrice Reymond, Morgane Rousseau, Ludovic Sauvage, Benjamin Seror, Kristina Solomoukha, Naia Sore, Yoann Thommerel, Nicolas Tilly, Valentina Traïanova, Fabien Vallos.

g.u.i. est un collectif de designers pour l'édition, l'image et l'intéraction créé en 2006 qui rassemble aujourd'hui Bachir Soussi Chiadmi, Nicolas Couturier, Julien Gargot, Angeline Ostinelli, Benoît Verjat et Sarah Garcin. Les membres de g.u.i. collaborent avec des institutions culturelles et publiques, des groupes de travail et des artistes, principalement dans les champs de l'art contemporain et de la performance. Ses recherches concernent l'organisation, la mise en forme et l'accès à des collections de documents, la conception d'outils pour l'édition et la documentation collective, amenant l’atelier à développer une plateforme dédiée à ce sujet, espace de recherche et maison d’édition, appelé BANC!


Photo: Ouidade Soussi Chiadmi (DR)

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Le Kung Fu, représentation

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21. Novembre 2014 - 20:00» 22:00
Vendredi 21 novembre 2014, 20h


Le Kung Fu , une pièce de et par Dieudonné Niangouna

Le Kung Fu retrace le récit de l'enfance de Dieudonné Niangouna dans le Congo des années 70 et 80, époque où le cinéma, alors qu'il faisait défaut sur la place publique, était pour le metteur en scène et auteur congolais un fil conducteur puissant entre son parcours artistique personnel, son histoire familiale et la construction d'une parole habitée par la fiction cinématographique. Des films de Kung Fu et populaires aux films d'auteur, le cinéma fut pour lui matière à se construire une identité, à incarner le verbe dans l'action, jusqu'à la rencontre avec le théâtre. De cette expérience demeure l'urgence de l'écriture que l'auteur revendique comme nécessairement soluble dans le temps - pour un théâtre éphémère donc - la fabrication des images, également furtives, indissociables de la mise en scène et du passage à l'acte, sur scène. Cette urgence autant que la mémoire qu'elle construit, Dieudonné Niangouna l'a mise en partage avec les Albertivillariens qui se sont associés à ce projet en rejouant les scènes de leurs films cultes. Dès lors, ce sont plusieurs récits qui s'entrecroisent, de multiples géographies qui s'entremêlent et la question même de l'identité de chacun qui surgit. 

Le Kung Fu a été créé aux Laboratoires d'Aubervilliers en juin dernier après plusieurs mois en résidence de création et d'écriture aux Laboratoires. Le texte Le Kung Fu a été publié en septembre aux Solitaires intempestifs.


Représentations les 19, 20 et 21 novembre 2014
Entré libre, sur réservation: reservation@leslaboratoires.org et 0153561590


Dieudonné Niangouna (texte, mise en scène et jeu), Laetitia Ajanohun (collaboration artistique), Wolfgang Korwin (vidéo), Nicolas Barrot (régie générale), Laurent Vergnaud (création et régie lumière), Patrick Janvier et Charlotte Humbert (construction décors), Antoine Blesson assisté de Léa Couqueberg (administration, production et diffusion).


Avec (tournage des scènes): François Corbeau, Nemo Gielen, Agnès Hauenstein, Pauline Hurel, ,Stéphane Guez, Aurélie Rames, Franck Poupon, Malek Semaani, Habib François, Nathalie Incorvaïa, Barbara Coffy, Maurice Kaboré, Nourredine Kaddouri, Fanta Kanté, Sabrina, Chantale, Moussokoye, Sabrina Ouhrani, Ilyan Ouhrani, Serge Sapim, Lydia Cupidin, Olivier Nestor, Michèle Sully, Maxime Lemonnier.


Production déléguée : Le Grand Gardon Blanc, Cie Les Bruits de la Rue, les Laboratoires d’Aubervilliers. Coproduction : Künstlerhaus Mousonturm, Francfort. Partenaires financiers : Région Île-de-France dans le cadre des résidences d’écrivain, La Cie Les Bruits de la Rue est soutenue par le Ministère de la Culture et de la Communication -  DRAC Île-de-France.
Pièce créée en résidence aux Laboratoires d’Aubervilliers.

Merci à nos collaborateurs d’Aubervilliers : l’équipe d’animation du quartier Paul Bert, la Fripouille, l’association Lumière.

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Mots-clés: 

théâtre

Le Kung Fu, représentation

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19. Novembre 2014 - 20:00
Mercredi 19 novembre 2014, 20h


Le Kung Fu , une pièce de et par Dieudonné Niangouna

Le Kung Fu retrace le récit de l'enfance de Dieudonné Niangouna dans le Congo des années 70 et 80, époque où le cinéma, alors qu'il faisait défaut sur la place publique, était pour le metteur en scène et auteur congolais un fil conducteur puissant entre son parcours artistique personnel, son histoire familiale et la construction d'une parole habitée par la fiction cinématographique. Des films de Kung Fu et populaires aux films d'auteur, le cinéma fut pour lui matière à se construire une identité, à incarner le verbe dans l'action, jusqu'à la rencontre avec le théâtre. De cette expérience demeure l'urgence de l'écriture que l'auteur revendique comme nécessairement soluble dans le temps - pour un théâtre éphémère donc - la fabrication des images, également furtives, indissociables de la mise en scène et du passage à l'acte, sur scène. Cette urgence autant que la mémoire qu'elle construit, Dieudonné Niangouna l'a mise en partage avec les Albertivillariens qui se sont associés à ce projet en rejouant les scènes de leurs films cultes. Dès lors, ce sont plusieurs récits qui s'entrecroisent, de multiples géographies qui s'entremêlent et la question même de l'identité de chacun qui surgit. 

Le Kung Fu a été créé aux Laboratoires d'Aubervilliers en juin dernier après plusieurs mois en résidence de création et d'écriture aux Laboratoires. Le texte Le Kung Fu a été publié en septembre aux Solitaires intempestifs.


Représentations les 19, 20 et 21 novembre 2014
Entré libre, sur réservation: reservation@leslaboratoires.org et 0153561590


Dieudonné Niangouna (texte, mise en scène et jeu), Laetitia Ajanohun (collaboration artistique), Wolfgang Korwin (vidéo), Nicolas Barrot (régie générale), Laurent Vergnaud (création et régie lumière), Patrick Janvier et Charlotte Humbert (construction décors), Antoine Blesson assisté de Léa Couqueberg (administration, production et diffusion).


Avec (tournage des scènes): François Corbeau, Nemo Gielen, Agnès Hauenstein, Pauline Hurel, ,Stéphane Guez, Aurélie Rames, Franck Poupon, Malek Semaani, Habib François, Nathalie Incorvaïa, Barbara Coffy, Maurice Kaboré, Nourredine Kaddouri, Fanta Kanté, Sabrina, Chantale, Moussokoye, Sabrina Ouhrani, Ilyan Ouhrani, Serge Sapim, Lydia Cupidin, Olivier Nestor, Michèle Sully, Maxime Lemonnier.


Production déléguée : Le Grand Gardon Blanc, Cie Les Bruits de la Rue, les Laboratoires d’Aubervilliers. Coproduction : Künstlerhaus Mousonturm, Francfort. Partenaires financiers : Région Île-de-France dans le cadre des résidences d’écrivain, La Cie Les Bruits de la Rue est soutenue par le Ministère de la Culture et de la Communication -  DRAC Île-de-France.
Pièce créée en résidence aux Laboratoires d’Aubervilliers.

Merci à nos collaborateurs d’Aubervilliers : l’équipe d’animation du quartier Paul Bert, la Fripouille, l’association Lumière.

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Le Kung Fu, représentation

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20. Novembre 2014 - 20:00» 22:00
Jeudi 20 novembre 2014, 20h


Le Kung Fu , une pièce de et par Dieudonné Niangouna

Le Kung Fu retrace le récit de l'enfance de Dieudonné Niangouna dans le Congo des années 70 et 80, époque où le cinéma, alors qu'il faisait défaut sur la place publique, était pour le metteur en scène et auteur congolais un fil conducteur puissant entre son parcours artistique personnel, son histoire familiale et la construction d'une parole habitée par la fiction cinématographique. Des films de Kung Fu et populaires aux films d'auteur, le cinéma fut pour lui matière à se construire une identité, à incarner le verbe dans l'action, jusqu'à la rencontre avec le théâtre. De cette expérience demeure l'urgence de l'écriture que l'auteur revendique comme nécessairement soluble dans le temps - pour un théâtre éphémère donc - la fabrication des images, également furtives, indissociables de la mise en scène et du passage à l'acte, sur scène. Cette urgence autant que la mémoire qu'elle construit, Dieudonné Niangouna l'a mise en partage avec les Albertivillariens qui se sont associés à ce projet en rejouant les scènes de leurs films cultes. Dès lors, ce sont plusieurs récits qui s'entrecroisent, de multiples géographies qui s'entremêlent et la question même de l'identité de chacun qui surgit. 

Le Kung Fu a été créé aux Laboratoires d'Aubervilliers en juin dernier après plusieurs mois en résidence de création et d'écriture aux Laboratoires. Le texte Le Kung Fu a été publié en septembre aux Solitaires intempestifs.


Représentations les 19, 20 et 21 novembre 2014
Entré libre, sur réservation: reservation@leslaboratoires.org et 0153561590


Dieudonné Niangouna (texte, mise en scène et jeu), Laetitia Ajanohun (collaboration artistique), Wolfgang Korwin (vidéo), Nicolas Barrot (régie générale), Laurent Vergnaud (création et régie lumière), Patrick Janvier et Charlotte Humbert (construction décors), Antoine Blesson assisté de Léa Couqueberg (administration, production et diffusion).


Avec (tournage des scènes): François Corbeau, Nemo Gielen, Agnès Hauenstein, Pauline Hurel, ,Stéphane Guez, Aurélie Rames, Franck Poupon, Malek Semaani, Habib François, Nathalie Incorvaïa, Barbara Coffy, Maurice Kaboré, Nourredine Kaddouri, Fanta Kanté, Sabrina, Chantale, Moussokoye, Sabrina Ouhrani, Ilyan Ouhrani, Serge Sapim, Lydia Cupidin, Olivier Nestor, Michèle Sully, Maxime Lemonnier.


Production déléguée : Le Grand Gardon Blanc, Cie Les Bruits de la Rue, les Laboratoires d’Aubervilliers. Coproduction : Künstlerhaus Mousonturm, Francfort. Partenaires financiers : Région Île-de-France dans le cadre des résidences d’écrivain, La Cie Les Bruits de la Rue est soutenue par le Ministère de la Culture et de la Communication -  DRAC Île-de-France.
Pièce créée en résidence aux Laboratoires d’Aubervilliers.

Merci à nos collaborateurs d’Aubervilliers : l’équipe d’animation du quartier Paul Bert, la Fripouille, l’association Lumière.

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théâtre

Le Kung Fu, show

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21. Novembre 2014 - 20:00» 22:00
Friday 21st November 2014, 8 pm


Le Kung Fu, a play by Dieudonné Niangouna

Congolese writer and director Dieudonné Niangouna explores urgent theatre with poetic, vivid, acerbic text imbued with his personal story and the conflicts that his country has traversed. In Aubervilliers, he will return to the cinematographic experiences that marked his childhood, in particular, Kung Fu films: “I told the stories of films to my brothers, my sisters, big and little, to my cousins, aunts, uncles, friends, strangers, old people, babies and even to dogs. I told the story of some two thousand five hundred films in my life, without tiring of it. Every day of my life, between the ages of five and 16”.

With Le Kung Fu, Dieudonné Niangouna tells his film stories, in Brazzaville cinemas of the 70s and 80s or with his dad, passionate about films d'auteur. Before exploring the imaginary world of theatre and writing, Dieudonné Niangouna explored the one of cinema. Le Kung Fu is a concept, through which he explores his own passion for cinema, as well as the relationship we all have with cinema. On stage, this solo shows his own story, interspersed with extracts of movies shot with Aubervilliers inhabitants. Cult scenes, that they choose and played in the city streets and public spaces.


November 19th, 20th and 21st at 8 pm
Free entrance on reservation at reservation@leslaboratoires.org and +33153561590


Dieudonné Niangouna (text, direction, game), Laetitia Ajanohun (artistic collaboration), Wolfgang Korwin (video), Nicolas Barrot (technics), Laurent Vergnaud (creation and light), Patrick Janvier and Charlotte Humbert (settings), Antoine Blesson with Léa Couqueberg (administration, production and diffusion).


With (extracts of movies): François Corbeau, Nemo Gielen, Agnès Hauenstein, Pauline Hurel, ,Stéphane Guez, Aurélie Rames, Franck Poupon, Malek Semaani, Habib François, Nathalie Incorvaïa, Barbara Coffy, Maurice Kaboré, Nourredine Kaddouri, Fanta Kanté, Sabrina, Chantale, Moussokoye, Sabrina Ouhrani, Ilyan Ouhrani, Serge Sapim, Lydia Cupidin, Olivier Nestor, Michèle Sully, Maxime Lemonnier.

Production : Le Grand Gardon Blanc, Cie Les Bruits de la Rue, les Laboratoires d’Aubervilliers. Coproduction : Künstlerhaus Mousonturm, Francfort. Sponsors : Région Île-de-France, Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Île-de-France.

Thanks to the people who helped us in Aubervilliers : the team of the quartier Paul Bert, la Fripouille, l’association Lumière.

Standard

Mots-clés: 

théâtre

Le Kung Fu, show

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20. Novembre 2014 - 20:00» 22:00
Thursday 20th November 2014, 8pm


Le Kung Fu, a play by Dieudonné Niangouna

Congolese writer and director Dieudonné Niangouna explores urgent theatre with poetic, vivid, acerbic text imbued with his personal story and the conflicts that his country has traversed. In Aubervilliers, he will return to the cinematographic experiences that marked his childhood, in particular, Kung Fu films: “I told the stories of films to my brothers, my sisters, big and little, to my cousins, aunts, uncles, friends, strangers, old people, babies and even to dogs. I told the story of some two thousand five hundred films in my life, without tiring of it. Every day of my life, between the ages of five and 16”.

With Le Kung Fu, Dieudonné Niangouna tells his film stories, in Brazzaville cinemas of the 70s and 80s or with his dad, passionate about films d'auteur. Before exploring the imaginary world of theatre and writing, Dieudonné Niangouna explored the one of cinema. Le Kung Fu is a concept, through which he explores his own passion for cinema, as well as the relationship we all have with cinema. On stage, this solo shows his own story, interspersed with extracts of movies shot with Aubervilliers inhabitants. Cult scenes, that they choose and played in the city streets and public spaces.


November 19th, 20th and 21st at 8 pm
Free entrance on reservation at reservation@leslaboratoires.org and +33153561590


Dieudonné Niangouna (text, direction, game), Laetitia Ajanohun (artistic collaboration), Wolfgang Korwin (video), Nicolas Barrot (technics), Laurent Vergnaud (creation and light), Patrick Janvier and Charlotte Humbert (settings), Antoine Blesson with Léa Couqueberg (administration, production and diffusion).


With (extracts of movies): François Corbeau, Nemo Gielen, Agnès Hauenstein, Pauline Hurel, ,Stéphane Guez, Aurélie Rames, Franck Poupon, Malek Semaani, Habib François, Nathalie Incorvaïa, Barbara Coffy, Maurice Kaboré, Nourredine Kaddouri, Fanta Kanté, Sabrina, Chantale, Moussokoye, Sabrina Ouhrani, Ilyan Ouhrani, Serge Sapim, Lydia Cupidin, Olivier Nestor, Michèle Sully, Maxime Lemonnier.

Production : Le Grand Gardon Blanc, Cie Les Bruits de la Rue, les Laboratoires d’Aubervilliers. Coproduction : Künstlerhaus Mousonturm, Francfort. Sponsors : Région Île-de-France, Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Île-de-France.

Thanks to the people who helped us in Aubervilliers : the team of the quartier Paul Bert, la Fripouille, l’association Lumière.

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Mots-clés: 

théâtre

Le Kung Fu, show

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19. Novembre 2014 - 20:00
Wednesday 19th November 2014, 8pm


Le Kung Fu, a play by Dieudonné Niangouna

Congolese writer and director Dieudonné Niangouna explores urgent theatre with poetic, vivid, acerbic text imbued with his personal story and the conflicts that his country has traversed. In Aubervilliers, he will return to the cinematographic experiences that marked his childhood, in particular, Kung Fu films: “I told the stories of films to my brothers, my sisters, big and little, to my cousins, aunts, uncles, friends, strangers, old people, babies and even to dogs. I told the story of some two thousand five hundred films in my life, without tiring of it. Every day of my life, between the ages of five and 16”.

With Le Kung Fu, Dieudonné Niangouna tells his film stories, in Brazzaville cinemas of the 70s and 80s or with his dad, passionate about films d'auteur. Before exploring the imaginary world of theatre and writing, Dieudonné Niangouna explored the one of cinema. Le Kung Fu is a concept, through which he explores his own passion for cinema, as well as the relationship we all have with cinema. On stage, this solo shows his own story, interspersed with extracts of movies shot with Aubervilliers inhabitants. Cult scenes, that they choose and played in the city streets and public spaces.


November 19th, 20th and 21st at 8 pm
Free entrance on reservation at reservation@leslaboratoires.org and +33153561590


Dieudonné Niangouna (text, direction, game), Laetitia Ajanohun (artistic collaboration), Wolfgang Korwin (video), Nicolas Barrot (technics), Laurent Vergnaud (creation and light), Patrick Janvier and Charlotte Humbert (settings), Antoine Blesson with Léa Couqueberg (administration, production and diffusion).


With (extracts of movies): François Corbeau, Nemo Gielen, Agnès Hauenstein, Pauline Hurel, ,Stéphane Guez, Aurélie Rames, Franck Poupon, Malek Semaani, Habib François, Nathalie Incorvaïa, Barbara Coffy, Maurice Kaboré, Nourredine Kaddouri, Fanta Kanté, Sabrina, Chantale, Moussokoye, Sabrina Ouhrani, Ilyan Ouhrani, Serge Sapim, Lydia Cupidin, Olivier Nestor, Michèle Sully, Maxime Lemonnier.

Production : Le Grand Gardon Blanc, Cie Les Bruits de la Rue, les Laboratoires d’Aubervilliers. Coproduction : Künstlerhaus Mousonturm, Francfort. Sponsors : Région Île-de-France, Ministère de la Culture et de la Communication - DRAC Île-de-France.

Thanks to the people who helped us in Aubervilliers : the team of the quartier Paul Bert, la Fripouille, l’association Lumière.

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Présentation

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Walk, Hands, Eyes (a city)


walk hands eyes Lefkowitz

Myriam Lefkowitz engage une deuxième année de résidence qui est pour elle l’occasion d’opérer une mise au point sur une recherche, entamée il y a six ans, principalement axée sur les différents régimes d'attention produit par les dispositifs immersifs pour un spectateur et un performeur qu'elle met en place. Walks, Hands, Eyes (a city) - projet développé depuis six ans - est une expérience pour un spectateur et un guide, qui au cours d’une balade silencieuse d'une heure dans une ville, tissent une relation particulière entre marcher, voir et toucher. Depuis de nombreuses balades engagées dans plusieurs villes du monde (New-York, Vilnus, Venise, Brno, Buenos Aires...) une forme d’existence inédite de la ville a émergée, au-delà de sa fonctionnalité habituelle et de ses usages réglés.
Et sait on jamais dans une obscurité pareille - projet développé lors de sa première année de résidence aux Laboratoires d'Aubervilliers - s’adresse également à un seul spectateur à la fois, reposant cette fois-ci sur l’expérience d’un corps immobile plongé dans le noir, mis en mouvement par le toucher et l’espace sonore qui se déploie avec et autour de lui. Basé sur un principe de raréfaction des stimulations sensorielles, ce dispositif insiste sur la fiction de corps et d'espace qui se noue à partir de presque rien. Particulièrement intéressée par le pannel considérable d'effets produit par ces deux dispositifs, Myriam Lefkowitz s'est attachée à comprendre comment la modification de nos attentions sensibles altèrent notre rapport à l’espace. À partir des nombreuses conversations que l’artiste a eu avec les personnes ayant vécu une balade mais aussi avec les guides qui l'ont porté, un livre sera publié questionnant le type de réalité que l'expérience perceptive recompose.

Ouvertures 2014: Une permanence sera tenue par Myriam Lefkowitz, Julie Laporte et Jean Philippe Derail afin d'activer les deux dispositifs Walk, Hands, Eyes (Aubervilliers) ainsi que Et sait on jamais dans une obscurité pareille les 23, 30 septembre; 7, 14, 28 octobre; 4, 11 novembre; 2, 9, 16 décembre, sur rendez-vous.


Image: Walk, Hands, Eyes (Aubervilliers)
Crédit: Pauline Hurel, mise en page: Simon Ripoll Hurier


Avec le soutien de la FNAGP

 

Mots-clés: 

  • performance
  • expérience perceptive

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Walk, Hands, Eyes (a city)


walk hands eyes Lefkowitz

Myriam Lefkowitz engages in a second period of residency, an oppportunity to share a research mainly focused on the different forms of attention produced by the immersive devices for one spectator and one performer which she creates. Walk, Hands, Eyes (a city) - project which has been developped for 6 years- an experience for one receiver and one guide who, during an hour of silent walk in a given city, weaves a specific relationship between walking, seeing and touching. The experience has been activated in different places (New York, Vilnius, Venise, Brno, Buenos Aires...) and has generated a peculiar mode of existence of the city, far from it's usual uses. How can one be sure in such darkness? Conceived during her first year of residency, also for one spectator at a time, this device consists in the experience of a motionless body plunged into darkness. The device relies on the sense of touch and on the sound space that spreads out around and with the spectator. Relying on the rarefaction of sensorial stimulations, this device insists on the fiction of the body and space produced by almost nothing. Particularly interested in the considerable range of effects produced by those two devices, Myriam Lefkowitz aims to understand how the modification of our sensoriel attention alterates our relation to space. On the base of numerous conversations with experiencers of the walk and with the guides who activate it, a book will be published questionning the form of reality recomposed by perceptive experiences.

Openings, 2014: A permanency will be proposed by Myriam Lefkowitz, Julie Laporte and Jean Philippe Derail to activate both devices Walk, Hands, Eyes (Aubervilliers) as well as How can one be sure in such darkness? The 23rd, 30th of September; the 7th, 14th, 28th of October; the 4th, 11th of Novembre; the 2nd, 9th, 16th of December. By appointment only


Image: Walk, Hands, Eyes (Aubervilliers)
Credit: Pauline Hurel, layout: Simon Ripoll Hurier


With the support of the FNAGP

Mots-clés: 

  • performance
  • peceptive experience

Contact & Accès

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Les Laboratoires d'Aubervilliers

41 rue Lécuyer
93300 Aubervilliers
France
Tél.: +33 1 53 56 15 90
Fax: +33 1 53 56 15 99
E-mail: info@leslaboratoires.org

Plan d’accès aux Laboratoires d’Aubervilliers

Nous sommes à 500 mètres de Paris - Porte de la Villette!
Métro: Ligne 7 Aubervilliers-Pantin Quatre-Chemins (sortie Avenue de la République, côté des numéros pairs)

Bus: 170, 150, 152, 249

Vélib: stations 35003, 33005 (plan)

Place & Privatisation

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The different spaces of Les Laboratoires d'Aubervilliers can be privatized, totally or partially, under certain conditions (see the brochure, hereunder).

For any information or request, contact Sorana Munteanu: s.munteanu@leslaboratoires.org and +33 (0)1 53 56 15 91

Download the brochure (in French)

 


HISTORY OF THE PLACE

Since 1993, the Laboratoires d’Aubervilliers have occupied 900 m2 of a former light metallurgy factory, in the neighborhood of Villette-Quatre Chemins in Aubervilliers, on the periphery of Paris.

In 1994, responding to an invitation by Jack Ralite, mayor of Aubervilliers, French choreographer François Verret and a group of artists decided to invest this space and turn it into a place of artistic creation and transdisciplinary exchange, actively open onto the town, its history and its inhabitants.

At the same moment, the association "Les Laboratoires d'Aubervilliers" is created, to handle the material and financial management of the Laboratoires as they fulfil the public service mission that has been entrusted to them, that is creating a space for the research, practice and creation of art, activities that develop according to the character of each project under the direction of an artistic director for the following artistic focuses: hosting artists in residence, assisting in the research process in relation to various artistic disciplines, arganizing art events and public meetings in connection with various fields of thought, publications, training.

In 2001, François Verret handed over the responsibility of proposing and carrying out a new artistic project to a new team, composed by art critics Yvane Chapuis and François Piron and choreographer Loïc Touzé.
For six years, from 2001 to 2006, the Laboratoires conducted a projet based on research and experimentation following four directions: production, public opening, training and publishing. (see archives 2001-2006)

With regard to the work done since 2001, Yvane Chapuis and Joris Lacoste, proposed in 2007 a new project to take further the research and production programme, to reinforce the assistance and reception for the projects in residence and to extend the audience meeting possibilities.

From 2010 to 2012, the venue has been collectively run by Grégory Castéra, Alice Chauchat and Natasa Petresin-Bachelez.

Since January 2013, Alexandra Baudelot, Dora Garcia and Mathilde Villeneuve are at the head of Les Laboratoires d'Aubervilliers.


THE SPACES

Between 2001 and 2003, important reconstruction work have been undertaken to rehabilitate the building, including the restoration of the building, the application of securitystandards, thermal and soundproof isolation of the premises, improvement of the reception conditions for artists and the public, and the technical installation of the work and performance spaces. The building was divided into three big spaces; their polyvalence fits the artistic diversity of the projects.


SPACE 1 — This space (109 m2) is reserved for reception of the public during opening periods, and also allows temporary projects, such as exhibits, public symposiums, performances...

SPACE 2 — This room (110 m2), located under a skylight and equipped with a removable floor, permits various arrangements, for working periods as well as for public events.

SPACE 3 — The large room (240 m2), with a board floor, bleachers, and technical equipment including a studio and seven suspended traveling decks, allows multiple scenic experimentations. This room, deprived of natural light, is mostly used for rehearsals and public performances, and can be rearranged into a dark room for projections. Its polyvalence also
allows the installation of exhibitions.

WORKSHOP — Used for deliveries, stock and construction, this space can be put at the disposal of the artists.

EDITING ROOM — This computerized room is specially designed for digital and sound editing.

TWO DRESSING ROOMS–STUDIOS

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La distance entre V et W


La pratique de Yael Davids, entre installations et performances, s’élabore à l’intersection des narrations et des champs personnels et politiques. Le corps est le point d’ancrage de sa pratique artistique, conçu comme un espace d’accueil et d’activation de convergences et de conflits. Tel un canal documentaire, il enregistre le présent et porte les stigmates de l’histoire. Il est une source de connaissance et un espace dynamique de réécriture.

Yael Davids s’intéresse au projet moderniste comme force agissante du sionisme, et aux potentiels de menace et de promesse portés par ces deux concepts. Elle entend, durant sa résidence aux Laboratoires d’Aubervilliers, déployer ses recherches de manière collaborative, via notamment la mise en place de deux ateliers. L’un est un atelier de lecture et d’écriture autour de trois auteurs juifs français du XXe siècle, Georges Perec, Simone Weil et Simone Veil, dont elle souhaite croiser les expériences de vie et de littérature. L’autre est une classe de «méthode-feldenkrais» que l’artiste se propose d’enseigner à un groupe de femmes d’Aubervilliers, reliées le temps de ces ateliers par un langage somatique commun.

Ces recherches en acte trouveront une résolution publique à travers un certain nombre de formes - des éditions, une exposition et une série de performances - au début de l’année 2015, en partie élaborées en dialogue avec deux autres artistes, Jill Magid et Dora Garcia, avec lesquelles elle collabore depuis quelques années.

Yael Davids:
«La racine intolérante: en repensant au concept de racine, par rapport à mes origines, j’ai compris que la racine suppose l’exil. Elle porte en elle l’exil possible, comme rupture avec un malheur potentiel. Pourtant, je souhaiterais penser à d’autres alternatives conceptuelles, à une forme parasitaire niant l’idée de racine unique, ou bien au concept de nomadisme, qui suggère une autre forme d’attachement à la terre, d’enracinement.

Le sionisme, incarnation d’un projet moderniste: j’aimerais questionner le sionisme en tant que projet moderniste – la naissance d’une nation en lien avec la pensée utopique d’un «nouveau départ», créant une rupture avec les réalités de l’époque. Le sionisme porte ce paradoxe de prétendre au «droit des racines», tout en incarnant le paradigme de créer un «nouveau départ». Ce «nouveau départ» à brisé une série de continuités: la réalité de la vie en Palestine avant l’irruption du sionisme, la réalité de la vie des immigrants juifs avant leur «Alia» en Israël.»


Avec le soutien du programme de résidences internationales Ville de Paris/Institut Français aux Récollets

Mots-clés: 

  • arts visuels
  • écriture
  • mouvement

Edition

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PARU EN JUIN 2012:

Akram Zaatari, Conversation avec un cinéaste israélien imaginé: Avi Mograbi

 Avi Mograbi

"Il paraît qu’Akram Zaatari a rencontré Avi Mograbi deux fois à Aubervilliers en 2010. Il paraît qu’ils ont passé un peu plus d’une semaine à parler et partager leurs expériences, leurs histoires, leurs photos et leurs films. Il paraît qu’ils ont passé quatre heures à regarder Notre Musique de Jean-Luc Godard, à jouer au ping-pong et que leur seul désaccord portait sur la vie personnelle de Roman Polanski. Il paraît qu’ils ont parlé en petit comité de «l’ennemi» et qu’Akram Zaatari a invité Avi Mograbi à quitter Israël pour venir vivre au Liban."

Pendant sa résidence aux Laboratoires d’Aubervilliers en avril 2010, Akram Zaatari a essayé d’écrire, d’improviser et de proposer une conversation avec un réalisateur israélien imaginé auquel il a donné le nom d’Avi Mograbi. Avec cette conversation, Akram Zaatari revisite les photographies qu’il a faites adolescent pendant l’occupation israélienne de sa ville natale, Saïda, en 1982. Il imagine l’expérience qu’un réalisateur israélien aurait pu vivre pendant ces mêmes années. Akram Zaatari reprend une idée du réalisateur Avi Mograbi dans son film Happy Birthday Mr.Mograbi, où celui-ci invente le personnage d’un producteur palestinien interprété par le véritable producteur palestinien Daoud Kuttab. Ce texte apporte un éclairage sur le conflit entre Israël et le Liban et sur la complexité de l’histoire récente, sur le découpage des frontières, la mobilité des individus et la notion d’ennemi. Conversation avec un cinéaste israélien imaginé: Avi Mograbi pose aussi la question de ce que signifie le fait d’être un réalisateur de documentaires aujourd’hui.



Version francaise et anglaise: 56 pages, Format 17 x 22 cm, couleur, 2012. Graphisme: Marc Touitou.
Prix de vente: 15€ / Frais de port: 3€

Coédition Blackjack éditions, Sternberg Press, Les Laboratoires d'Aubervilliers. Avec le concours de la Kadist Art Foundation et du Centre national des arts plastiques (aide à l’édition), ministère de la Culture et de la Communication

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