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Cabines d'écoute

OPENING 1

November 13-December 20, 2003

Vincent Epplay arranged three Cabines d’écoute inside and outside the building. In addition, he was responsible for organizing an event on this occasion, during which he performed several happenings in collaboration with other artists (Samon Takahashi, Antoine Schmitt...) and programed a selection of experimental films (Martin Arnold, Paul Sharits...), the sound of which was mixed and reworked live. Produced by Les Laboratoires d’Aubervilliers with backing of the Ministère de la Culture et de la Communication – Centre National des Arts Plastiques.


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Cabines d'écoute

OUVERTURE 1

13 novembre au 20 décembre 2003

Vincent Epplay a disposé trois Cabines d’écouteà l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment. Par ailleurs, l'organisation d'un événement lui a été confiée pendant la manifestation, au sein duquel il a réalisé plusieurs performances en collaboration avec d'autres artistes (Samon Takahashi, Antoine Schmitt…) et a proposé une programmation de films expérimentaux (Martin Arnold, Paul Sharits…), dont le son était mixé et retraité en direct. Production Les Laboratoires d’Aubervilliers avec le concours du Ministère de la Culture et de la Communication – Centre National des Arts Plastiques.

Choreography of Work #3

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23. Novembre 2013 - 20:00» 22:00

Choreography of Work #3
at the Collège des Bernardins, in the frame of the cycle Possessions (Khiasma / Phanom Productions).

What are the parallels and the differences between a dancer and a worker? Is learning a gesture of a choreography the same as learning the movements for painting a wall? How do you learn how to dance? How do you learn how to work?

Learning a dance choreography means the translation from one body to another by copying and imitating the images of the movements. But apart from their aesthetic value, what do the movements of a performance/dance mean in themselves?
The human being copies gestures, mimics them; these bodily gestures are learnable. Through exercises the body is being trained, disciplined and automated, thus enabled to be put into service for the state or at a working place. But learnable working movements operate regardless of the contents of the work itself. What does the work in itself mean?
With the training of movements and gestures, the body has to quickly adapt to new occupations and to grasp new skills. This becomes increasingly necessary in situations of crisis, e.g. during the economical crisis in the 1930s or in our days where workers have to face the demands of mobility and flexibility. Different programmes by employment offices engage to discipline unemployed people through various occupations. This requires a radical and absolute interiorisation of movement in the body.

This reflection also serves as a starting point for reconsidering the role of the body in art/film/production as a testing ground for strategies of efficiency and education and will elaborated and discussed in the lecture performances The Choreography of Labour#2 on the 4th/10 at Laboratoires d'Aubervilliers in collaboration with Jean-Marc Piquemal (choreographer, specialist of Labanotation) and The Choreography of Labour #3 on the 23rd/11 at the Collège des Bernardins, in the frame of the cycle Possessions (Khiasma / Phanom Productions).


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+ place
Collège des Bernardins
20 rue de Poissy
75005 Paris
+ date
saturday 23rd november 2013

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Mots-clés: 

  • performance
  • lecture
  • outside Les Labos

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Vider la descente de garage

OPENING 1

December 12-13, 2003

Although the representations of Menace de Mort et son orchestre, a show by Xavier Boussiron produced during his stay at the Laboratoires, were planned at that time, one of the actors had an accident which forced the postponement of the show until the spring of 2004. In replacement, Xavier Boussiron and the team of the Laboratoires organized two solo concerts, entitled Vider la descente de garage, with special lighting created for the premises. Produced by Les Laboratoires d’Aubervilliers

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Vider la descente de garage

OUVERTURE 1

12-13 décembre 2003

Alors que les représentations de Menace de Mort et son orchestre, spectacle de Xavier Boussiron produit au cours de sa résidence aux Laboratoires, étaient prévues à ce moment, un accident survenu à l’un des comédiens a entraîné le report de la création au printemps 2004. Xavier Boussiron et les Laboratoires ont organisé en remplacement deux concerts solo de l'artiste, intitulés Vider la descente du garage dans une mise en lumière originale créée dans le lieu. Production Les Laboratoires d’Aubervilliers.

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Menace de mort et son orchestre

Xavier Boussiron, an artist combining visual arts, music and performing arts, was invited by the Laboratoires to work on the staging of his first show, Menace de mort et son orchestre, a collaboration with Christophe Salengro (actor and dancer), Claudia Triozzi (dancer and choreographer) and Marie-Pierre Brebant (harpsichord player). The elaboration of this musical show was the occasion for different experimentations, for instance with a hypnotist who was asked to put all the characters into hypnosis during the performance. This solution was not adopted after all, however Menace was an opportunity to explore dance, music and narration based on a gestual score which composed a series of live paintings , inspired by a scene from LesEnvoutés by Witold Gomrowicz, where lyricism, burlesque and the paranormal intertwine. Menace de mort et son orchestre was shown at the Ménagerie de verre in February 2005. In 2005, the Laboratoires will co-publish, together with the Frac Provence-Alpes-Côte d’Azur and the label Sssuave, the record of the music of Menace de mort.


Opening 2

avril 6-7-8, 2004
Menace de mort et son orchestre

Directed by Xavier Boussiron With: Xavier Boussiron, Christophe Salengro, Claudia Triozzi, Stéphane Roger, Marie-Pierre Brébant (harpsichord), Norscq (sound). Produced by: Les Laboratoires d’Aubervilliers, with the backing of the DRAC Ile-de-France and assistance in writing from the association “Beaumarchais”.

Présentation

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Menace de mort et son orchestre

Xavier Boussiron, artiste évoluant entre les arts visuels, la musique et le spectacle, a été invité aux Laboratoires pour se consacrer à la mise en scène de son premier spectacle, Menace de mort et son orchestre, une collaboration avec Christophe Salengro (comédien et danseur), Claudia Triozzi (danseuse et chorégraphe) et Marie-Pierre Brebant (claveciniste). L’élaboration de ce spectacle musical a été l’occasion de différentes expérimentations, notamment avec une hypnologue qui devait mettre l’ensemble des protagonistes sous hypnose pendant les représentations. Si cette hypothèse ne fut finalement pas retenue, Menace a été l'occasion d'exploiter la danse, la musique et la narration à partir d’une partition gestuelle composant une série de tableaux vivants, inspirés d’une scène des Envoûtés de Witold Gombrowicz, où s’entrecroisent lyrisme, burlesque et paranormal. Menace de mort et son orchestre est programmé à la Ménagerie de verre du 22 au 26 février 2005. En 2005, les Laboratoires éditent, en co-édition avec le Frac Provence-Alpes-Côte d’Azur et le label Sssuave, le CD des musiques de Menace de Mort.

 

Ouverture 2

6-7-8 avril 2004
Menace de mort et son orchestre

Mise en scène : Xavier Boussiron Avec : Xavier Boussiron, Christophe Salengro, Claudia Triozzi, Stéphane Roger, Marie-Pierre Brébant (clavecin), Norscq (son). Production : Les Laboratoires d'Aubervilliers, avec le soutien de la DRAC Île-de-France et de l'aide à l'écriture de l'association «Beaumarchais ».

HORS-LES-MURS: Chorégraphie du travail #3

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23. Novembre 2013 - 20:00» 22:00

Chorégraphie du travail #3
au Collège des Bernardins, dans le cadre de Possessions, cycle produit par Khiasma en association avec Phantom.

Quels sont les points communs et les différences entre un/e danseur/se et un/e travailleur/se. L'apprentissage d'un geste de danse est-il similaire à l'apprentissage d'un geste permettant de peindre un mur? Comment apprend-on à danser? Comment apprend-on à travailler?
Apprendre une chorégraphie signifie la traduire d'un corps à l'autre en copiant et en imitant les images du mouvement. Mis à part leur valeur esthétique, que signifient les mouvements d'une danse/performance en soi?
L'être humain copie les gestes, les imite; ces gestes corporels sont appropriables. A travers certains exercices, le corps est entrainé, discipliné, automatisé; il peut ainsi être mis en service pour l'Etat ou sur un lieu de travail. Mais les mouvements de travail transmissibles agissent, peu importe le contenu du travail lui-même. Que signifie le travail en soi?
En s'entrainant à reproduire des mouvements et des gestes, le corps doit s'adapter rapidement à de nouvelles occupations et développer de nouvelles compétences. Cela devient d'autant plus nécessaire en temps de crise, come dans les années 30, ou de nos jours, alors que les travailleurs doivent faire face à une demande accrue de mobilité et de flexibilité. Différents programmes de formation développés par les agences pour l'emploi servent à discipliner les chomeurs/ses à travers différentes occupations. Ce qui demande une intériorisation radicale et absolue du mouvement par le corps.

Cette réflexion sert de point de départ pour questionner le rôle du corps dans l'art/le film/la production - où le corps devient espace d'investigation et d'expérimentation de la mise en place de stratégies d'efficacité et d'éducation. Elle sera développée et discutée lors des performances/discussions Chorégraphie du travail #2 le 4 octobre aux Laboratoires, avec le chorégraphe et spécialiste de la notation Laban Jean-Marc Piquemal et Chorégraphie du travail #3 le 23 novembre au Collège des Bernardins, dans le cadre de Possessions, cycle produit par Khiasma en association avec Phantom.

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+ place
Collège des Bernardins (sous réserve)
20 rue de Poissy
75005 Paris
+ date
samedi 23 novembre 2013

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Mots-clés: 

  • performance
  • lecture
  • outside Les Labos

Manifeste #5 - Laure Limongi, Fabrice Reymond et Valentina Traïanova

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13. Septembre 2013 - 20:00» 22:00

Tsai Ming Yiang, Good Bye Dragon inn


Laure Limongi - Indociles
. Écrivain, éditeur, Laure Limongi nous livre son manifeste littéraire: l’indocilité. «Sont indociles pour moi des artistes qui interrogent la forme, la réinventent. Peuvent requérir une participation active de la part du lecteur. Qui ne se lovent pas dans la facilité de la mode. Qui n’hésitent pas à déjouer les notions de genres, de frontières. Qui sont mus par la nécessité. On aura compris qu’il s’agit également d’une posture politique».


Laure Limongi, née à Bastia en 1976, est une éditrice et écrivaine française. Elle a publié quelques livres et de courts textes critiques (La Revue Littéraire, Les Lettres Françaises, CCP). Son travail littéraire se rapproche de certaines recherches rythmiques comme elle l'explique dans un entretien pour Le Matricule des anges; c'est ainsi que son livre sur Elvis Presley ressemblerait, selon Le Figaro, à «une chanson de geste, ou une chanson tout court, mêlant incantations, chapitres plus descriptifs, brefs instantanés ou récits à plusieurs voix, comme si tout se bousculait dans la pauvre tête du héros déchu shooté aux médicaments». Laure Limongi a créé la collection critique «&» aux éditions Al Dante en 2000, avant de créer et diriger la collection «Laureli» aux éditions Léo Scheer en 2006. À côté d'auteurs reconnus comme Raymond Federman, elle y publie de la littérature contemporaine, comme celle de Céline Minard, Daniel Foucard ou encore Emmanuel Tugny, mais s'illustre surtout par ses efforts pour faire redécouvrir l'œuvre de Hélène Bessette. La collection publie également des traductions (José Agrippino de Paula, Jörg Fauser). En tant qu’interprète musicale, elle a notamment participé au disque du compositeur Pierre Henry, Deux coups de sonnette. Elle fait également partie du groupe Molypop, en tant qu’auteur, compositrice et musicienne.
Voir aussi laurelimongi.com et rougelarsenrose.blogspot.fr

Fabrice Reymond
Voir fabrice.reymond.free.fr

Valentina Traïanova est artiste performeuse. Son œuvre articule installations sonores dans lesquelles sa voix occupe une place centrale, l'écriture de chansons et la pratique du dessin. Par ses performances RADIO VALENTINA (Mac/Val, Vitry-sur-Seine), Tokgora (Galerie L MD , Paris), Demain demain (Une Nuit/Eine Nacht, Forbach), Contemplation 05’ ou la fin de chants des femmes battues (Le Générateur, Gentilly), The End of A Love Affair (Bétonsalon, Paris), ses chansons (Sofia song, Je deviens la robe, Beginning of love,…) et ses dessins (SEnsemble, éditions le clou dans le fer) Valentina Traïanova investit différents champs de l’art et collabore avec de nombreux artistes. Elle est notamment intervenue en tant que chanteuse dans Cargo-Sofia-Paris de Rimini Protokol ou, récemment, dans un Atelier de création radiophonique de France Culture, Arthur Gonzales-Ojjeh, nomade commotionné. Depuis 2009, elle collabore régulièrement avec Antoine Dufeu avec lequel elle a monté une série de performances intitulée LUBOVDA. Valentina Traïanova est née à Sofia et vit à Paris. Elle est diplômée de l’E.P.I.A.R. Villa Arson (Nice) et de l’Académie libre Jules Pasquin (Sofia).
Voir aussi soundcloud.com/valentinatraianova

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+ date
vendredi 13 septembre, 20h
+ entrée libre sur réservation +
à reservation@leslaboratoires.org / 01 53 56 15 90

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Image: capture du film de Tsai Ming Yiang, Good Bye Dragon inn (2003)

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Mots-clés: 

  • littérature
  • manifeste

Possessions présente "P.A.I", de Filipa César

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9. Décembre 2013 - 20:00» 22:00

Dans le cadre du cyclePossessions, produit par Khiasma en association avec Phantom.

Présentation d’extraits du nouveau film en cours de Filipa César: poursuivant son travail de relecture des mouvements de libération de Guinée Bissau, elle développe ici un nouvel essai centré sur l’histoire fabriquée de la trahison de Rafael Barbosa, l’un des leaders du Parti Africain pour l’Indépendance de la Guinée Bissau et du Cap Vert.

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Mots-clés: 

  • projection
  • performance

illegal_cinema #121

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9. Septembre 2013 - 20:00» 22:00

Camérer

Moindre

En réaction à la séance hors-les-murs avec l'Atelier W le 18 juin dernier, Clément Marmoz présente Le Moindre Geste de Fernand Deligny, Josée Manenti et Jean-Pierre Daniel. 

« Il délirait tout son saoul et les bandes se remplissaient sur ce magnétophone qu’il respectait, tapant dans l’herbe cependant qu’il vociférait à en avoir l’écume aux lèvres, et cette écume séchait, frange tenace de parole, comme sur les plages on voit la trace des dernières marées »
F. Deligny cité par Sandra Alvarez de Toledo, in Communication, n°71, p. 257

Le Moindre Geste est précaire. C’est une tentative qui n’a, a priori, que faire du sens. Le Moindre Geste semble tracer quelque chose de ce réel que le langage ne peut contenir dans ses mailles. Fernand Deligny s’est toujours efforcé à les écarter, ces mailles. D’abord auprès d’adolescents « délinquants », « psychotiques », « débiles profonds », en milieu urbain, puis à la fin des années 50 dans le paysage des Cévennes, où il ne part pas seul. Là-bas, quelques adultes en présence avec des gamins que la psychiatrie a qualifiés d’incurables, notamment Yves, jeune homme qui traverse le monde et l’expérimente par ses gestes. Comme une tentative, Josée Manenti  filmera l’errance de ce jeune homme.

Deligny proposait cela, filmer, parfois même sans film, pour pouvoir se taire. Filmer sans projets, tout au plus une histoire légère, une trame un peu lâche pour tenir malgré tout. Le moindre geste est pensé comme l’histoire d’une évasion, celle de Richard et Yves. Richard tombe dans un trou, Yves vagabonde alors dans le paysage chaotique des Cévennes.

Ensuite, les images et les sons resteront dans une malle près d’une décennie jusqu’à ce qu’un jeune monteur, Jean-Pierre Daniel, trouve les bobines, traces de ces deux années d’errances. Il s’attellera avec Josée Manenti à monter un film. Le montage, pleins d’asymétries, tire la substance délirante de la voix off, celle d’Yves, pour en faire film fou où cette parole nous devient commune, étrangement proche. L’enjeu cinématographique est rare : faire un film d’un débordement du sens.

De la tentative de Deligny à la reprise par Jean-Pierre Daniel et Josée Manenti, le discours se dissout ramenant l’humain à son moindre geste, un geste qui n’échappe pas au commun mais se situe à partir de son écart au monde.

Clément Marmoz travaille avec la folie et ses entours depuis 10 ans. Il a notamment animé des ateliers de création radiophonique, à Lyon et Paris, avec des enfants, adolescents et adultes ayant à faire à la psychiatrie.

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+ film projeté
LE MOINDRE GESTE de Fernand Deligny, Josée Manenti et Jean-Pierre Daniel (1970, 105 min)
+ date
lundi 9 septembre, 20h
+ entrée libre
bar et restauration légère, dès 19h30

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Mots-clés: 

  • projection
  • discussion

Présentation

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La chorégraphie du travail

2013-2014

Aux Laboratoires d’Aubervilliers, la performeuse et vidéaste Romana Schmalisch développe un projet associant plusieurs médiums (installation, performance, vidéo) et propose une réflexion autour des relations qui unissent l’art et la production, lié à l’histoire et au site des Laboratoires et à son environnement: une ancienne usine de métallurgie fine implantée dans le territoire de la Seine-Saint-Denis, marqué par l’histoire industrielle et communiste.

La chorégraphie du travail est le titre d’une série de conférences-performances qui se développera ensuite sous la forme d’un film. Le projet questionne la relation entre le travail et l’art, abordant des problématiques telles que la représentation des processus de production et les relations de pouvoir dans le film, l’utilisation de formes artistiques dans les mouvements ouvriers, la manière dont les méthodes artistiques furent utilisées en vue d’accroître la rentabilité de la production industrielle, ou encore les principes qui sous-tendent les programmes de formation dans les agences pour l’emploi. En reconstruisant différentes interconnexions entre ces éléments de réflexion, selon une perspective à la fois historique et contemporaine, La chorégraphie du travail tend à enquêter sur les liens existants entre les sphères du travail et de l’art.

Cette réflexion sert également de point de départ pour reconsidérer le rôle du corps dans l’art/le film/la production – quand le corps est compris comme un espace d’investigation et d’expérimentation pour la mise en place de stratégies d’efficacité et d’éducation.

Le journal "Notes sur les mouvements" accompagnera le processus de recherche et de production, et présentera notes d'intention, matériaux collectés et discussions avec les différents interlocuteurs rencontrés durant un an. Le premier numéro analyse les rapports entre danse et mouvement ouvrier dans les années 30 (avec le "New Dance Group" aux USA) et son utilisation par l'industrie pour accroitre l'efficacité (Laban/Lawrence). Il porte un regard sur l'image floue que nous avons de certaines professions, s'interroge sur la valeur de la performance d'un travail et sa traduction en terme de salaire, et étudie différentes formes d'abstraction (notations, graphiques) et de méthodes d'entrainement.

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Avec le soutien du Goethe Institut

Mots-clés: 

  • résidence
  • arts visuels
  • film

Jardinage ouvert

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11. Septembre 2013 - 14:00

Plusieurs fois par mois, les mercredis et le samedis, l'équipe des Laboratoires et les jardiniers du quartier vous accueillent à la Semeuse: jardinage collectif, troc de graines, ateliers ou activités pratiques liées au jardin et à l'espace pour petits et grands… D'autre part, vous pouvez venir profiter du jardin dans le cadre des horaires d'ouverture de l'esplanade des Laboratoires d'Aubervilliers (en semaine de 9h à 20h, le samedi de 10h à 16h). Ce jardin se veut ouvert et collaboratif, vous pouvez vous y impliquer de multiples manières:

PROFITER DU LIEU ET D’OUTILS
(utiliser la serre pour vos semis ou mettre vos plantes à l’abri, ramener votre compost dans le bac à compost, emprunter des outils de jardinage à main ou électriques, profiter de l’espace, le temps d’un pique nique, d’un goûter, d’une réunion de plein air...)

VOUS INVESTIR PLUS DURABLEMENT
(prendre part au jardinage collectif: entretien du jardin, plantations de pleine terre..., investir un bac de plantations pour y cultiver vos tomates, vos herbes aromatiques, vos fleurs ou ce que vous voulez, proposer des idées d’évolution du jardin, de partenariats, d’ateliers, d’activités, de plantations, d’actions dans l’espace public, de débats, etc... et même les mettre en place!)

PARTICIPER PONCTUELLEMENT
(venir aux journées portes ouvertes du jardin, participer aux ateliers pour adultes et/ou pour enfants - initiation au compostage, fabrication de nichoirs à oiseaux ou de maisons à insectes, semis, jardinage, bricolage, arts plastiques,...- vous joindre aux rencontres de la Semeuse, une fois par mois une soirée de discussions autour d’une thématique liée au jardinage urbain - écologie, politique, paysage, cadre de vie urbain...)

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+ date
mercredi 11 septembre 2013, 14h-19h
+ renseignements, inscriptions
lasemeuse.aubervilliers@gmail.com / 06 95 85 01 61
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Photo: inauguration du jardin, le 14 avril 2013

Labo des Labos

Mots-clés: 

atelier

Jardinage ouvert

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7. Septembre 2013 - 12:00» 19:00

Plusieurs fois par mois, les mercredis et le samedis, l'équipe des Laboratoires et les jardiniers du quartier vous accueillent à la Semeuse: jardinage collectif, troc de graines, ateliers ou activités pratiques liées au jardin et à l'espace pour petits et grands… D'autre part, vous pouvez venir profiter du jardin dans le cadre des horaires d'ouverture de l'esplanade des Laboratoires d'Aubervilliers (en semaine de 9h à 20h, le samedi de 10h à 16h). Ce jardin se veut ouvert et collaboratif, vous pouvez vous y impliquer de multiples manières:

PROFITER DU LIEU ET D’OUTILS
(utiliser la serre pour vos semis ou mettre vos plantes à l’abri, ramener votre compost dans le bac à compost, emprunter des outils de jardinage à main ou électriques, profiter de l’espace, le temps d’un pique nique, d’un goûter, d’une réunion de plein air...)

VOUS INVESTIR PLUS DURABLEMENT
(prendre part au jardinage collectif: entretien du jardin, plantations de pleine terre..., investir un bac de plantations pour y cultiver vos tomates, vos herbes aromatiques, vos fleurs ou ce que vous voulez, proposer des idées d’évolution du jardin, de partenariats, d’ateliers, d’activités, de plantations, d’actions dans l’espace public, de débats, etc... et même les mettre en place!)

PARTICIPER PONCTUELLEMENT
(venir aux journées portes ouvertes du jardin, participer aux ateliers pour adultes et/ou pour enfants - initiation au compostage, fabrication de nichoirs à oiseaux ou de maisons à insectes, semis, jardinage, bricolage, arts plastiques,...- vous joindre aux rencontres de la Semeuse, une fois par mois une soirée de discussions autour d’une thématique liée au jardinage urbain - écologie, politique, paysage, cadre de vie urbain...)

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+ date
Samedi 7 septembre 2013, 12h-19h
+ renseignements, inscriptions
lasemeuse.aubervilliers@gmail.com / 06 95 85 01 61
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Photo: inauguration du jardin, le 14 avril 2013

Labo des Labos

Mots-clés: 

atelier

Pique-nique collectif

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11. Septembre 2013 - 19:00» 22:00

Nous vous attendons au jardin mercredi 11 septembre pour fêter ensemble la rentrée autour d'un grand pique-nique collectif! Apportez votre/vos spécialité/s, ami/es, graines, plantes et bonne humeur!

Plusieurs fois par mois, les mercredis et le samedis, l'équipe des Laboratoires et les jardiniers du quartier vous accueillent à la Semeuse: jardinage collectif, troc de graines, ateliers ou activités pratiques liées au jardin et à l'espace pour petits et grands… D'autre part, vous pouvez venir profiter du jardin dans le cadre des horaires d'ouverture de l'esplanade des Laboratoires d'Aubervilliers (en semaine de 9h à 20h, le samedi de 10h à 16h). Ce jardin se veut ouvert et collaboratif, vous pouvez vous y impliquer de multiples manières:

PROFITER DU LIEU ET D’OUTILS
(utiliser la serre pour vos semis ou mettre vos plantes à l’abri, ramener votre compost dans le bac à compost, emprunter des outils de jardinage à main ou électriques, profiter de l’espace, le temps d’un pique nique, d’un goûter, d’une réunion de plein air...)

VOUS INVESTIR PLUS DURABLEMENT
(prendre part au jardinage collectif: entretien du jardin, plantations de pleine terre..., investir un bac de plantations pour y cultiver vos tomates, vos herbes aromatiques, vos fleurs ou ce que vous voulez, proposer des idées d’évolution du jardin, de partenariats, d’ateliers, d’activités, de plantations, d’actions dans l’espace public, de débats, etc... et même les mettre en place!)

PARTICIPER PONCTUELLEMENT
(venir aux journées portes ouvertes du jardin, participer aux ateliers pour adultes et/ou pour enfants - initiation au compostage, fabrication de nichoirs à oiseaux ou de maisons à insectes, semis, jardinage, bricolage, arts plastiques,...- vous joindre aux rencontres de la Semeuse, une fois par mois une soirée de discussions autour d’une thématique liée au jardinage urbain - écologie, politique, paysage, cadre de vie urbain...)

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mercredi 11 septembre 2013, 19h
+ renseignements, inscriptions
lasemeuse.aubervilliers@gmail.com / 06 95 85 01 61
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Photo: inauguration du jardin, le 14 avril 2013

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HORS LABOS: illegal_cinema #122

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25. Septembre 2013 - 19:30» 22:00

HORS LABOS
Archives municipales
31-33 rue de la Commune de Paris
Aubervilliers 
plan 

Torre Bela
La séance proposée par Romana Schmalisch, artiste en résidence aux Laboratoires, et Carlos Semedo, directeur de la vie associative et des relations internationales à la mairie d'Aubervilliers, aura lieu aux Archives Municipales. Ils présenteront le film de Thomas Harlan, Torre Bela.

torre

Torre Bela, immense propriété des ducs de Lafoes, est occupée par des ouvriers au chômage, au lendemain de la chute de la dictature au Portugal. Le terrain agricole n'est en effet pas exploité par le riche propriétaire ; les ouvriers décident alors de s'organiser en coopérative pour tenter de cultiver les milliers d'hectares inutilisés.
Le film de Thomas Harlan rend visible le processus d'occupation de cette grande ferme et l'apparition progressive d'une organisation collective, basée sur le pouvoir populaire.
Avec son équipe, le réalisateur a donc pu suivre l'action de ces travailleurs ruraux, action qui semble avoir été transformée et stimulée par la présence de la caméra.

Romana Schmalisch est artiste en résidence aux Laboratoires. Son projet questionne notamment la relation entre le travail et l’art, abordant des problématiques telles que la représentation des processus de production et les relations de pouvoir dans le film. En reconstruisant différentes interconnexions entre ces éléments de réflexion, selon une perspective à la fois historique et contemporaine, Romana Schmalisch tend à enquêter sur les liens existants entre les sphères du travail et de l’art.

+ film projeté
TORRE BELLA de Thomas Harlan (81 min, 1977)
+ date
mercredi 25 septembre, 19h30
+ entrée libre
Archives Municipales d'Aubervilliers 

Standard

Mots-clés: 

  • hors labos
  • projection
  • discussion

Captations - Dimanche 19 mai 2013

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  • documentation
  • vidéo

Retrouvez, en vidéo, les différents ateliers, rencontres et performances qui se sont déroulés lors du deuxième jour du Printemps des Laboratoires:


DIMANCHE 19 MAI, 13H-21H

 

"Notre-Dame-Des-Landes : la communauté des gens de boue"
Avec John Jordan, Isabelle Fremeaux, et Antonio Casilli


 
"Fabrique du commun dans la Cité"
Avec Marie-Hélène Bacqué, Cyclofficine (Giuseppe Caprarelli, Giampiero Ripanti, Aline Dannappe), Azouz Gharbi et Margaux Vigne

 
"Pédagogie des arts politiques"
Avec Valérie Pihet et Myriam Lefkowitz

 

"L'institution inventée : création d'espaces artistiques alternatifs"
Avec S.a.L.E Docks (Roberta Da Soler), Jan Ritsema, Cesare Pietroiusti, Adva Zakai
(à venir)

Atelier "By the Way"
Une proposition de Adva Zakai
(à venir)

Captations - Samedi 18 mai 2013

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  • documentation
  • vidéo

Retrouvez, en vidéo, les différents ateliers, rencontres et performances qui se sont déroulés lors de ce premier Printemps des Laboratoires:


SAMEDI 18 MAI, 10H30-22H

 
"De la Commune à la communauté"
Avec Sophie Wahnich et Thomas Lacoste
 



"Performer la communauté"
Avec Chantal Pontbriand, Latifa Laâbissi, John Jordan et Isabelle Fremeaux



"What We Want Is Free - la pratique professionnelle d’un artiste et d’un linguiste"
Avec Joachim Scharloth et Cesare Pietroiusti



 
"System error, please reboot. Indignés, Occupy Wall Street, collectifs d’artistes et activistes"
Avec Barbara Casavecchia, Cesare Pietroiusti, Joachim Scharloth et S.a.L.E. Docks (Roberta da Soller)




Atelier "Construire une masse"
Une proposition de Latifa Laâbissi
(à venir)

HORS LABOS: illegal_cinema #122

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25. Septembre 2013 - 19:30» 22:00

at the Archives municipales
31-33 rue de la Commune de Paris
Aubervilliers 
map

Torre Bela
The screening presented by Romana Schmalisch, artist in residence at Les Laboratoires, and Carlos Semedo, head of the vie associative life & international relation at Aubervilliers town hall, will take place at the Archives Municipales. They will be showing Thomas Harlan's movie, Torre Bela.

torre

Torre Bela, huge property of the Dukes of Lafoes is occupied by unemployed workers, after the fall of the dictatorship in Portugal. The agricultural land is no longer used by the rich owner, the workers organize themselves into a cooperative effort to cultivate thousands of acres unused.
Member of the Revolutionary Committee during the Carnation Revolution, Thomas Harlan makes visible in his film the process of occupation and the gradual emergence of a collective organization, based on popular power.
With his team, the film follows the action of these rural workers — an action that seems transformed and stimulated by the presence of the camera.
The film was first shown at Cannes Festival in 1977.

Romana Schmalisch is artist in residence at les Laboratories. Her project questions the relationship between labor and art, addressing issues such as the representation of production processes and power relationships in film. Reconstructing various interconnections between these reflections, a perspective on both historical and contemporary, Romana Schmalisch tends to investigate the links between the spheres of work and art.

+ projected movie
TORRE BELLA, Thomas Harlan (81 min, 1977)
+ date
wednesday 25th september, 7:30pm
+ free entry
Archives Municipales d'Aubervilliers 

Standard

Mots-clés: 

  • hors labos
  • projection
  • discussion

Edition of manifestos (g.u.i)

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  • manifesto
  • dispositive
  • publication


Through the 10 openings for the Degré 48 project, the collective of graphic designers g.u.i. gives shape to the thirty-some manifestos that will be called upon in a year. It tells the story. A kind of documenting.
There is a first layer. It’s an amalgam. It is the remains of historic manifestos, the forms they took for distribution, texts and images, printed or digital. For example there is the Futurist Manifesto, 1909; Dada Manifesto, 1918; De Stijl Manifesto, 1918; Surrealist Manifesto, 1924; Concrete Art Manifesto, 1930; Manifesto Against nothing for the International Exposition on Nothing, 1960; Nouveau Réalisme declaration, 1960; Fluxus Manifesto, 1961; First Things First Manifesto, 1964; Hacker’s Manifesto, 1986; Riot Grrrl Manifesto, 1991; Repair Manifesto, 2004; Neen Manifesto, 2006; Free Font Manifesto, 2006; Manifesto of the Dance Museum, 2009; Incomplete Manifesto for Change, 2011… All reprinted, redistributed, copied, repeated on the internet. We pick up the trail, we accumulate their visual structures, the lines along which they are drawn, the traces and bricks that make them up. It’s a first impression, always the same. Then there is a second layer, a second impression. It’s a text. It’s manifest. It plays with letters gathered up, their rash confrontations. We assemble them in a typography, that’s the 48 Soft. Then it’s a brutal piling up until a hard body, a shared body, a direct and limping skeleton comes out of it. That’s the 48 Hard.
Then there is a third layer. It marks the manifestation, it takes note of public time, of what is going on, of what is said, while they are being called upon. This third step is plural. This layer is constantly changing, every passage is different. For this last one a device is tested and invented, by several people, by many. We also receive information from spectators. A device for the reaction to what happens as it happens. The rest remains to be built.

Manifesto #1: A Constructed World Medicine Show


Manifesto #2:
Kristina Solomoukha & Paolo Codeluppi, Fabien Vallos, Ludovic Sauvage


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g.u.i. is a collective of designers for published works, image and interaction created in 2006 that today includes Bachir Soussi Chiadmi, Nicolas Couturier, Julien Gargot, Angeline Ostinelli and Benoît Verjat. Based in Paris, Strasbourg and Rotterdam, the collective collaborates with public and cultural institutes, working groups and artists, mainly in the fields of contemporary art and performance. Their work examines organisation, how collections of documents take shape and are accessed, designing tools for publishing and collective documentation, as well as setting-up user-based systems. To do that, they teach, design structures for projects and devices, draft identities and typographies, develop digital interfaces, create images, books and spatial installations. Out of a desire to share and experiment, the collective works with fine arts, decorative arts and applied arts schools in Rennes, Nancy, Cergy, Nantes, Paris and Strasbourg.

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