Quantcast
Channel: Les Laboratoires d’Aubervilliers - Les Laboratoires d’Aubervilliers
Viewing all 2458 articles
Browse latest View live

be for the birds (variation II) / Silvia Maglioni et Graeme Thomson

$
0
0
oui
2. Juin 2017 - 20:00» 23:00
Friday 2nd June 2017, 8 p.m.



 

be for the birds (variation II)
Performance / Screening by Silvia Maglioni and Graeme Thomson

 

A mist-enveloped forest some 20 million years old, vestige of a world that existed long before human beings came along ; the whistling melodies of a language in danger of extinction ; the powers of exhaustion of two of the living-dead in flight from debt. With this scattering of seeds of fabulation, Silvia Maglioni and Graeme Thomson glide above the circumference of their new film in progress, Common Birds, and lead us into the fragile yet ever-expanding ecosystem of the birds, flitting from Aristophanes to Hitchcock, John Cage to François-Bernard Mâche to Merzbow.



 Silvia Maglioni and Graeme Thomson, Common Birds

 

This project was supported by CNAP Soutien à une recherche/production artistique

 


 

Standard

Cuisiner les plantes albertivillariennes #8

$
0
0
oui
3. Juin 2017 - 14:00» 17:00
Samedi 3 juin 2017, de 14h à 17h

 

Cuisiner les plantes albertivillariennes avec Véronique Désanlis
Les fruits


Pour ce dernier atelier avec Véronique Desanlis nous allons nous intéresser aux fruits.

En cette belle saison où le soleil gorge de sucre nos fruits à peine mûrs, les habillant de leur belle couleur, il n’est pas de meilleur moment pour profiter de leurs sucres naturels et de l’énergie de leurs vitamines.

Les fruits contiennent de nombreux nutriments. Parmi ceux-ci figurent notamment les vitamines A, B et C, mais aussi une multitudes de minéraux, leurs conférants des vertues et fonctions médicinales dont chaque fruit possède sa spécificité. Antioxydant pour un grand nombre, effets favorisant la digestion pour certains, désaltérant pour la plupart, les fruits sont une véritable source de bienfaits à consommer sans presque aucune modération.

A Aubervilliers, dans les jardins privés et partagés, des arbres fruitiers permettent aux albertivillariens de se nourrir de fruits locaux. Prunes, mûres, framboises, pommes, etc., venez découvrir les fruits qui poussent dans l'ancien potager de l'île de France.

 

images tous droits réservés




Standard

Archives des prédécents projets

$
0
0
non
0

 

 

Olive Martin et Patrick Bernier ont préalablement au projet Wampicôn et ses hôtes déployé aux Laboratoires d'Aubervilliers, deux projets dont voici les archives :

Projet pour une jurisprudence  /  résidence 2007

L’œuvre réalisée par Patrick Bernier et Olive Martin dans le cadre de leur résidence aux Laboratoires d’Aubervilliers en 2007, s’intitule Projet pour une jurisprudence. Elle s’appuie sur un texte écrit en 2004 par Patrick Bernier, intitulé Conte pour une jurisprudence. Ce texte présente l’ultime réquisitoire avant expulsion d’une femme étrangère en situation irrégulière, revendiquant son droit de présence sur le territoire en tant que «co-auteur, dépositaire et interprète» d’une œuvre d’art.

Tentative de sauvegarde d'un lieu périphérique  /  résidence 2008

Le titre de ce projet est une déclinaison de celui du livre de Georges Perec, Tentative d’épuisement d’un lieu parisien dans lequel l’auteur s’attache à décrire ce qui se passe place St Sulpice à Paris « quand il ne se passe rien sinon du temps, des gens, des voitures et des nuages ».
Brahim Ahmadouche et Patrick Bernier ont expérimenté différentes techniques telles que la collecte de témoignages — d’habitants, de commerçants ou de simples passants —, le recensement renouvelé d’éléments du paysage urbain — enseignes —, l’enregistrement d’ambiances sonores, etc…, qu’ils intègrent ensuite pour «se constituer progressivement mémoire vivante du quartier en procès». Et c’est dans le cadre des visites guidées du projet Petite Prusse, Histoire & Mémoires des 4 Chemins, initié par la mairie d’Aubervilliers qu’ont eu lieu, entre décembre 2008 et juin 2009, les premières présentations.

 
Autoportrait de tout le monde

Le projet de Olive Martin a été initié dans le cadre d’un partenariat entre Les Laboratoires et Mosaïque, structure d’accueil du service municipal Hygiène et Santé de la Ville d’Aubervilliers, situé à proximité des Laboratoires et s’adressant à des jeunes de 12 à 17 ans qui habitent le quartier Villette Quatre-Chemins ou sont scolarisés dans le secteur.
Après une première phase d’observation et de rencontres avec la structure et son usage, Olive Martin a choisi d’impliquer les jeunes dans une production de photographies, mettant à disposition dans le lieu deux appareils photographiques argentiques et des pellicules noir et blanc.
Les photographies produites durant une année ont constitué une collection de plus de 1000 images.





L'accueil en 1386 perles

$
0
0
oui
Le Wampicôn et ses hôtes



Le projet« Le Wampicôn et ses hôtes » est initié par Patrick BERNIER et Olive MARTIN dans le cadre d'une résidence aux Laboratoires d'Aubervilliers en janvier et juin 2017. Il est composé d'un ensemble de rencontres, visites et ateliers menés par les deux artistes avec la classe UP2A du collège Jean Moulin à Aubervilliers dans le cadre du dispositif PED.


L'usage d'une œuvre d’art dans l’espace public relève d’un subtil entrecroisement de désirs et de hasards, d’alchimie entre les volontés des uns et les réactions des autres, entre des initiatives à échelles individuelles et des encadrements institutionnels. Depuis son installation dans la cour du collège Jean Moulin, au titre du 1% artistique, le Wampicôn, surface commune d'expression graphique, comme son pendant numérique, le Wampigraph, accessible en ligne, sont régulièrement activés : en témoignent les photos transmises par le principal du collège et l'enrichissement de la collection de dessins diffusée par la Rivière (écran dédié) au CDI. L'œuvre est autonome. Les artistes, Olive Martin et Patrick Bernier, s'étaient néanmoins mis à la disposition de l'équipe administrative et pédagogique pour accompagner des classes ou des groupes d'élèves dans l'approfondissement et l'expérimentation conjoints de l'œuvre.

Après une première expérience avec sept élèves de 5e et un assistant d'éducation, en septembre 2015 lors des journées du patrimoine, c'est grâce au dispositif PED (Projet éducatif départemental) mis en place par le Département de la Seine-Saint-Denis, en collaboration avec Les Laboratoires d'Aubervilliers, que cette année a vu la concrétisation de cette proposition. Une belle occasion pour le centre de production artistique et le collège qui s'inscrivent dos à dos dans une même parcelle géographique, de s'ouvrir l'un à l'autre et rendre poreuse la cloison tant symbolique que physique qui les sépare. L'occasion également de mettre en jeu avec son voisin l'un des axes de l'oeuvre : partager activement un territoire.

La collaboration spécifique de cette année s’est faite en concertation avec Mme Horbant, professeur, responsable de la classe UP2A (Classe d'accueil tous niveaux du collège). Les artistes ont été invités à proposer leur projet à une petite vingtaine d’élèves, entre 11 et 18 ans, arrivés récemment en France. Cette classe de transition les aide à apprendre la langue et à se familiariser avec le système scolaire avant de rejoindre les autres classes.
C'est la question de l'hospitalité et de l'accueil que le groupe, fort de son expérience, s'est donné de discuter et d'illustrer au cours d'ateliers d'une ou plusieurs journées réparties entre janvier et juin 2007. Ceux-ci alternent des temps de réalisation pratique sur les supports proposés par l'oeuvre - son logiciel et le panneau de perles - ainsi que d'autres expérimentations dessinées ou filmées.

En complément à cette approche pratique et en référence aux objets dont s'inspirent le Wampicôn, le groupe a été reçu pour des visites commentées - au Musée du Quai Branly à Paris et aux Archives diplomatiques à la Courneuve -, respectivement l'endroit où sont conservés, en tant qu'artefacts culturels désactivés, des ceintures de perles amérindiennes (wampums), et le lieu où elles pourraient avoir leur juste place en tant que traités bilatéraux.

Une première visite aux Laboratoires et un repas partagé qui ont inauguré les ateliers en janvier dernier ont donné l'idée d'y organiser un évènement qui en rendent compte : les élèves se feront les hôtes des Laboratoires le mardi 23 mai 2017 en s'appropriant les lieux pour vous recevoir !

Ce projet permet d’inventer ensemble et progressivement des manières d’activer l’œuvre existante, de déployer un imaginaire et les modes d’expressions des élèves à partir d’elle. Il avance pas à pas, au fil des attentions qu’il parvient à tenir, des uns pour les autres, des désirs de prendre le crayon pour dessiner ce que serait un « motif d’hospitalité », des découvertes de totems, de masques ou de costumes historiques qui puissent faire écho à sa propre histoire ou à celles des autres, d’étonnements devant des recueils cousus d’or qui contiennent les échanges anciens entre les chefs d’Etats de France et d’Amérique, de traduction à tour de rôle du mot « bienvenu » dans sa langue au tableau, de tentative de nommer les espaces d’accueil, de réflexion sur quoi offrir et quoi recevoir, et comment.

Plus qu’un projet, ce sont les conditions d’une expérience commune qu’ont mises en place Patrick Bernier et Olive Martin, faisant fi des logiques de résultat, trop concentrés qu’ils ont tous été à laisser advenir une question fondamentale : ce qu’on s’apporte.

Patrick Bernier et Olive Martin tiennent remercier tout particulièrement :
La classe UP2A, Patricia Horbant et l'équipe des Laboratoires d'Aubervilliers, mais aussi Morten Salling et Dominique Bourzeix du Département Seine-Saint-Denis ; Valéry Devillers-Braun, principal du collège, Ambre Xavier et les enseignantes du collège Jean Moulin à Aubervilliers ; Claudia Le Guellanff, documentaliste, Christine Pomerantz et Sébastien Delelis qui les ont reçu aux archives Diplomatiques
ainsi que les services pédagogiques du Musée du Quai Branly, à Paris.

 

images tous droits résevés

 



Mots-clés: 

  • Résidence 2017
  • Hospitalité

Cuisiner les plantes albertivillariennes #8

$
0
0
non
13. Mai 2017 - 14:00» 17:00
Samedi 13 mai 2017, à 14h

 

Cuisiner les plantes albertivillariennes avec Véronique Désanlis
Le sureau

 

Dans la mythologie grecque, la déesse Maïa incarne le printemps, saison où les fleurs bourgeonnent et s’ouvrent. Pour cet atelier, nous nous focaliserons sur le sureau, cet arbre dont les fleurs mellifères se transforment en fin d’été en petites baies noires et poussent à peu près partout. Il est donc facile d’en trouver et d’en cueillir, même si vous n’en avez pas dans votre jardin. Fleurs, feuilles écorce tout est bon. Cette plante aux vertues médicinales date de l'Antiquité, ses fleurs aux couleurs légèrements crèmes nous offrent plusieurs possibilités de préparation culinaires, particulièrement en ce mois de renouvellement qu’est le mois de mai. Encore un merveilleux don de la nature…

 

Atelier limité à 15 participants - Entrée libre sur réservation
à reservation@leslaboratoires.org ou au 01 53 56 15 90

 


images / droits réservés

 

 

 

Labo des Labos

Atelier Auberfabrik / Collections Végétales #1

$
0
0
non
6. Mai 2017 - 14:00» 18:00
Samedi 6 mai 2017, à 14h

 

Atelier Auberfabrik
Collections Végétales #1


Les plantes tinctoriales sont des plantes qui produisent naturellement des pigments, lesquels sont extraits et utilisés pour la coloration de différents matériaux (tissus, laine, bois...), la fabrication d'aliments colorés (colorants alimentaires), de produits cosmétiques (maquillage, colorants capillaires), d'encres naturelles ou encore de peintures végétales. Les pigments sont, selon les cas, contenus dans les feuilles, les fleurs, les fruits ou les graines, les racines, le bois, ou encore la sève.

Sylvie Napolitano, artiste de l’association Auberfabrik, propose dans le cadre de ses ateliers de création aux Laboratoires d'Aubervilliers, d'expérimenter les qualités plastiques et tinctoriales des végétaux sur des papiers et des tissus, en jouant notamment avec les transparences et la lumière.

Chaque participant sera amené à créer sa propre collection via une forme personnelle. Une forme collective de ces expérimentations sera exposée aux Laboratoires d’Aubervilliers dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine en septembre prochain.

 

Entrée libre sur réservation à
reservation@leslaboratoires.org ou au 01 53 56 15 90


image tous droits réservés





Labo des Labos

Atelier Auberfabrik / Collections Végétales #2

$
0
0
non
17. Juin 2017 - 14:00» 17:00
Samedi 17 juin 2017, de 14h à 17h

 

 

Atelier Auberfabrik
Collections Végétales #2


Les plantes tinctoriales sont des plantes qui produisent naturellement des pigments, lesquels sont extraits et utilisés pour la coloration de différents matériaux (tissus, laine, bois...), la fabrication d'aliments colorés (colorants alimentaires), de produits cosmétiques (maquillage, colorants capillaires), d'encres naturelles ou encore de peintures végétales. Les pigments sont, selon les cas, contenus dans les feuilles, les fleurs, les fruits ou les graines, les racines, le bois, ou encore la sève.

Sylvie Napolitano, artiste de l’association Auberfabrik, propose dans le cadre de ses ateliers de création aux Laboratoires d'Aubervilliers, d'expérimenter les qualités plastiques et tinctoriales des végétaux sur des papiers et des tissus, en jouant notamment avec les transparences et la lumière.

Chaque participant sera amené à créer sa propre collection via une forme personnelle. Une forme collective de ces expérimentations sera exposée aux Laboratoires d’Aubervilliers dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine en septembre prochain.

 

Entrée libre sur réservation à
reservation@leslaboratoires.org ou au 01 53 56 15 90

 

 

image tous droits réservés

 

 


Labo des Labos

Atelier Auberfabrik / Collections Végétales #3

$
0
0
non
24. Juin 2017 - 14:00» 17:00
Samedi 24 juin 2017, 14h

 

 

Atelier Auberfabrik
Collections Végétales #3


Les plantes tinctoriales sont des plantes qui produisent naturellement des pigments, lesquels sont extraits et utilisés pour la coloration de différents matériaux (tissus, laine, bois...), la fabrication d'aliments colorés (colorants alimentaires), de produits cosmétiques (maquillage, colorants capillaires), d'encres naturelles ou encore de peintures végétales. Les pigments sont, selon les cas, contenus dans les feuilles, les fleurs, les fruits ou les graines, les racines, le bois, ou encore la sève.

Sylvie Napolitano, artiste de l’association Auberfabrik, propose dans le cadre de ses ateliers de création aux Laboratoires d'Aubervilliers, d'expérimenter les qualités plastiques et tinctoriales des végétaux sur des papiers et des tissus, en jouant notamment avec les transparences et la lumière.

Chaque participant sera amené à créer sa propre collection via une forme personnelle. Une forme collective de ces expérimentations sera exposée aux Laboratoires d’Aubervilliers dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine en septembre prochain.

 

Entrée libre sur réservation à
reservation@leslaboratoires.org ou au 01 53 56 15 90

 

 

 

image tous droits réservés



Labo des Labos

Pièce de danse

$
0
0
non
La langue brisée (3) / Pauline Le Boulba

 

 

La langue brisée (3)
With Pauline Le Boulba and Laurent Pichaud

Friday 19th May 2017, 8:00 pm

 

After working for a week at the Laboratoires d’Aubervilliers, Pauline Le Boulba will be presenting La langue brisée, part of her latest opus comprising a trilogy of solos. The idea is to present on stage the way she responds to dance pieces she has seen, and to share her unique relationship with these selected works. She allows herself to move around freely, drawing from other pieces, other encounters and other “ghosts” to understand how she looks at a work and how it looks at her. The source piece becomes a medium for free expression on a number of different discursive and performance-related levels.

For La langue brisée (3), she focuses on Alain Buffard’s Dispositif 3.1 (2001) and invites Laurent Pichaud to take part in the evening. They will be presenting their respective approaches in performance formats inspired by the work of other artists : Laurent Pichaud will be exploring how to produce a site-specific piece via the work of Deborah Hay.

 

Free entrance on reservation at
reservation@leslaboratoires.org or 01 53 56 15 90

 


Pauline Le Boulba is an artist and researcher. She has been carrying out research and creative work since October 2013 in the Dance department at Paris 8 University, preparing a thesis entitled “Performer la critique” [Performing Criticism] under the supervision of Isabelle Ginot, for which she received support from Labex Arts H2H (2013-2016). In this context she began a trilogy of solos entitled La langue brisée. The third and last part will be presented in October 2017 at the CND: it takes as its starting point Alain Buffard’s Dispositif 3.1 (2001).

 



Laurent Pichaud, danseur, chorégraphe et chercheur, se forme à la danse contemporaine dans les années 1990, tout en suivant des études en histoire de l'art, avec un intérêt particulier pour le land art anglais et les questions de mémoires, notamment liées à la shoah. Lors qu'il débute son parcours d'interprète et de chorégraphe dans ces années 90, la danse contemporaine est traversée par une remise en cause du spectacle et de ses codes, l'amenant ainsi à participer pleinement de ces réflexions et expérimentations. Depuis, il n'a jamais cessé de mener avec un même intérêt une double activité de chorégraphe et d'interprète. En tant que chorégraphe, il privilégie les recherches sous le mode des 'consignes' et 'contraintes', toujours en immédiate relation avec le réel environnant de l'interprète. Ce souci du lieu de présentation est devenu peu à peu une constante centrale dans sa démarche — chaque projet est associé à un contexte spécifique, un lieu en lui-même pouvant suffire à définir le sujet d'une pièce. Qu'il s'agisse de lieux de vie 'réelle' ou d'espaces singuliers aménagés, voire d'un théâtre, c'est toujours la globalité de l'espace visuel qui participe de l'écriture. Et le plus souvent on ne saurait en isoler la seule part chorégraphique. Depuis 2005, Laurent Pichaud vit un compagnonnage artistique, personnel et professionnel, auprès de la chorégraphe américaine Deborah Hay. Ancré à même la pratique, cette relation s’est développée au fil du temps sur plusieurs axes. C’est ainsi que, dans le cadre d’une invitation de l’Université de Paris 8, Laurent Pichaud a construit et mené une série de rencontres avec des étudiants de Paris 8, certaines ouvertes au public, autour de ce compagnonage et de la chorégraphe américaine Deborah Hay. Intitulée Performer la recherche : cinq séances sur Deborah Hay et accueilli aux Laboratoires d'Aubervilliers entre les mois de février et mars 2017.

 

Mots-clés: 

  • danse
  • rencontre
  • Pauline Le Boulba
  • Laurent Pichaud

Pièce de danse

$
0
0
non
La langue brisée (3) / Pauline Le Boulba

 

La langue brisée (3)
Avec Pauline Le Boulba et Laurent Pichaud

Vendredi 19 mai 2017, 20h

 

Après une semaine de travail aux Laboratoires d’Aubervilliers, Pauline Le Boulba présentera une étape du dernier opus de sa trilogie de solos, La langue brisée. Il s’agit à chaque fois d’agencer sur le plateau sa réception face à des pièces de danses qu’elle a préalablement vues, de se confier sur la relation singulière qu’elle entretient avec ces œuvres choisies. Elle se laisse dériver, déplacer. Elle convoque d’autres pièces, d’autres rencontres, d’autres fantômes pour comprendre comment elle regarde une œuvre et comment celle-ci la regarde. L’œuvre-source devient le support au déliement d’une langue s’articulant dans une multiplicité de régimes discursifs et performatifs.

Pour La langue brisée (3), elle s’arrête sur une œuvre d’Alain Buffard, Dispositif 3.1 (2001) et invite Laurent Pichaud à partager avec elle la soirée afin de mettre en regard leurs approches respectives autour de formats performatifs autour d’œuvres d’autres artistes. Laurent Pichaud s’interroge sur la manière de faire de l’in situ dans l’œuvre de Deborah Hay.

 

Entrée libre sur réservation à
reservation@leslaboratoires.org ou au 01 53 56 15 90

 


Pauline Le Boulba est artiste et chercheuse. Elle mène une recherche-création depuis octobre 2013 au département Danse de Paris 8 avec le concours du Labex Arts H2H (2013-2016) intitulée « Performer la critique » sous la direction d’Isabelle Ginot. Dans ce contexte, elle a amorcé une trilogie de solos, intitulée La langue brisée. Le troisième et dernier volet sera présenté en octobre 2017 au CN D et prend pour point de départ une pièce d’Alain Buffard, Dispositif 3.1 (2001).

 



Laurent Pichaud, danseur, chorégraphe et chercheur, se forme à la danse contemporaine dans les années 1990, tout en suivant des études en histoire de l'art, avec un intérêt particulier pour le land art anglais et les questions de mémoires, notamment liées à la shoah. Lors qu'il débute son parcours d'interprète et de chorégraphe dans ces années 90, la danse contemporaine est traversée par une remise en cause du spectacle et de ses codes, l'amenant ainsi à participer pleinement de ces réflexions et expérimentations. Depuis, il n'a jamais cessé de mener avec un même intérêt une double activité de chorégraphe et d'interprète. En tant que chorégraphe, il privilégie les recherches sous le mode des 'consignes' et 'contraintes', toujours en immédiate relation avec le réel environnant de l'interprète. Ce souci du lieu de présentation est devenu peu à peu une constante centrale dans sa démarche — chaque projet est associé à un contexte spécifique, un lieu en lui-même pouvant suffire à définir le sujet d'une pièce. Qu'il s'agisse de lieux de vie 'réelle' ou d'espaces singuliers aménagés, voire d'un théâtre, c'est toujours la globalité de l'espace visuel qui participe de l'écriture. Et le plus souvent on ne saurait en isoler la seule part chorégraphique. Depuis 2005, Laurent Pichaud vit un compagnonnage artistique, personnel et professionnel, auprès de la chorégraphe américaine Deborah Hay. Ancré à même la pratique, cette relation s’est développée au fil du temps sur plusieurs axes. C’est ainsi que, dans le cadre d’une invitation de l’Université de Paris 8, Laurent Pichaud a construit et mené une série de rencontres avec des étudiants de Paris 8, certaines ouvertes au public, autour de ce compagnonage et de la chorégraphe américaine Deborah Hay. Intitulée Performer la recherche : cinq séances sur Deborah Hay et accueilli aux Laboratoires d'Aubervilliers entre les mois de février et mars 2017.

 

Mots-clés: 

  • danse
  • rencontre
  • Pauline Le Boulba
  • Laurent Pichaud

Classes de Lutte #3 / Les "mijeurs", jeunes isolés étrangers

$
0
0
non
6. Juin 2017 - 20:00» 23:00
Mardi 6 juin 2017, 20h



Classes de Lutte #3 /
Les "mijeurs", jeunes isolés étrangers : invisibilisation étatique et pratiques d'accueil

Rencontre le mardi 6 juin 2017, 20h

 

« J'ai peur de mourir dans la rue, j'ai eu trop froid cette nuit ».

Mois de décembre 2016, Paris. A, 17 ans, tremblant de froid, attend à la porte de la Chapelle, le camp humanitaire ouvert par la Mairie de Paris deux mois plutôt. De l’autre côté de la porte d’entrée, une travailleuse sociale demande : « Mais vous êtes sûre qu'il est mineur, il a une moustache… 'Mentent souvent vous savez ? ».


Dans les rues de Paris, de France, sur les routes de l’exil, des centaines de jeunes errent. Trop petits pour être mis avec les grands, et jugés trop grands pour être pris en charge dans les dispositifs d'aide sociale à l'enfance, ils seraient en France moins de dix mille selon les autorités. Le double peut-être si l'on en croit le nombre de rejets dans les dispositifs d'accueil (90 % à Paris) qui contestent leur minorité.

Les “mijeurs” composent seuls ou en petits groupes dans la partition des villes, écrite en majeur et mineur. Ils sont invisibles et les premières victimes des violences, institutionnelles ou issues de la rue. Qu’est-ce que le non-accueil de ces jeunes par les structures institutionnelles françaises nous apprend sur l’état d’injustice contemporain ? Quels moyens individuels et collectifs sont mis en oeuvre pour aider ces jeunes ? Qu’est-ce que leurs regards nous disent de la défamiliarisation du monde en cours ? Jeunesse maltraitée, elle rencontre parfois des individus bienveillants et réussit à trouver place dans notre société.

Nos deux invités, Clémentine Ébert et Olivier Favier, œuvrent à rendre le monde plus habitable pour ces jeunes. Au cours de cette rencontre, ils raconteront les contradictions et violences du système français, leurs difficultés quotidiennes rencontrées mais aussi les sourires, les victoires, et les moyens à mettre en œuvre pour poursuivre la lutte de l’accueil de celles et ceux qui, catégorisés comme “mineurs ou majeurs isolés étrangers”, aspirent seulement à grandir ici.


Clémentine Ébert exerce le métier d’avocate depuis 2011 en droit des étrangers, asile et nationalité française. Elle a d’abord collaboré pendant plusieurs années au sein d’un cabinet parisien avant d’ouvrir son propre cabinet à Metz. Elle est par ailleurs engagée auprès de plusieurs associations comme l’ADDE, la Ligue des droits de l’homme et Avocats sans frontières.

Olivier Favier est historien de formation, traducteur et interprète de l'italien. Il est notamment l'auteur de Chroniques d'exil et d'hospitalité (Le Passager clandestin, 2017). Par ailleurs, il est responsable de publication du blog Dormira jamais qui mêle récits de ces jeunes, critiques et idées politiques, littéraires et cinématographiques.



 

Standard

Presentation

$
0
0
non
The Ark : Centre d'experimentation pluridisciplinaire


A Happy Workplace is a Productive One





Selk’nam, Tierra del Fuego (1919)
Image by Martin Gusinde - courtesy Of Grace Ndiritu


The Ark is a post-internet living research/live art project - part scientific experiment, part spiritual experience. It is inspired by Ndiritu's own experiences during the last decade, living on and off in New Age communities. The Ark will have no audience for the first six days, so the participants can go deep into this process. Instead it will be closed to encourage creativity and vulnerability, in order to come up with radical, new ways of thinking about life and the problems of today's world.

Through a multiplicity of themes including Plants, Biology, Shamanism, Meditation, Food, Philosophy, Communities, Education, Architecture, Future of Cities, Democracy and Activism. The Ark will aim to firstly open a dialogue between its own participants and secondly with a wider audience during the Public Weekend.

The Ark will have no audience for the first 6 days, so the participants can go deep in this process. Instead it will be closed in order to encourage creativity and vulnerability in order to come up with radical, new ways of thinking about life and the problems of today's world. All invitees will be asked to participate and share in each others offerings whether that is a lecture, meditation session, cooking, creating a performance or Non Violent Communication (NVC) or poetry workshop.

Moreover, the ancient Indian Vedic chakra system is the conceptual and energetic foundation for the holistic nature of The Ark i.e. the daily spiritual workshops, academic talks and performance schedule. It is also the inspiration for the visual design of the uniforms, banners, flags and the menu of food which the participants will consume during The Ark.

During this first moment of the project which is closed to the public, the public will be able to follow what is happening inside The Ark using Facebook, Instagram and Twitter. And the week will conclude with an extensive public programme on the Saturday 8th and Sunday 9th July 2017.

During the week, The Ark will organize its activities in four teams:

The Spiritual Team will design purification practices and energetic rituals, to elevate the consciousness of each participant individually and as a group, so that new ideas and ways of thinking about the world's problems will be produced throughout the week. This team will include Grace Ndiritu (Kenya/UK), artist and designer of The Ark community experiment and Rebecca Farr (USA), artist and spiritual worker who will lead all the spiritual workshops during The Ark

The Food Team is inspired by The Ark's guidelines about growing and eating food following the chakra system which will allow the food program to be aligned with the rest of The Ark program of activities. The Ark week is a platform for seeing Food as Curative/Preventive medicine and the expansion of participant's consciousness. Thus, vegan, wild, macrobiotic, ayuverdic and raw cooking are some of the ways that food will be introduced into it. Members of this team are Denise Palma Ferrante(Australia/Italy), head chef, she will design the menu and organize the kitchen at The Ark, Julian Cox (UK), radical gardener, he will grow food for The Ark, Maxime Bichon(FR), sous chef and artist, will focus on cooking and creative thinking during The Ark andSue Burge (UK), sous chef and poet, she will be helping in the kitchen and leading a Food Poetry night during The Ark.

The Art Team will design Daily Performance workshops with all participants, which will take place throughout The Ark leading up to the final public performance on Sat 8 July in the streets of Aubervillers. Urara Tsuchiya (Japan) and Anna Tanner (USA) performance artists, will be leading the performance workshops during The Ark. Rafaela Lopez will be in charge of the social media at The Ark.

The Academic Team will be leading talks and scientific experiments throughout The Ark week, accumulating at the Academic Roundtable on Sunday 9th July 2017 which will be moderated by Grace Ndiritu. For this, the team includes Petra Carma (Slovenia), social psychologist, will focus on social power and cults – group vs individual dynamics and facilitating community building exercises with the participants, Gleb Vyacheslavovich (Russia/Siberia), economist, will focus on BRIC and doing social testing on the subject of intercultural & interracial dialogues with participants, Eric Heist (USA), artist, will focus on the history of communities and the lineage of Biosphere scientific experiments which took place between 1987 to 1994 in Arizona, Kayla Anderson (USA), theorist and artist, will focus on the Anthropocene, Queer & Race Theory, Inter-species relationships and Future communities, Edgardo I. Garrido Perez (Panama/Mexico), biologist, will focus on Plants and Human communities at The Ark and at least Margaret McLaren (USA), philosopher, will focus on India, Gender, Economics & Rural Communities.


 

Mots-clés: 

  • Residency 2017
  • Extra Sensory Perception

Présentation

$
0
0
non
The Ark : Centre d'experimentation pluridisciplinaire


Un lieu de travail heureux est un environnement productif




Selk’nam, Terre de Feu (1919) - photographie prise par Martin Gusinde, rephotographiée par Grace Ndiritu - courtesy de l'artiste


The Ark est un projet post-internet ambitieux de recherche vivante situé au croisement entre expériences scientifiques et spirituelles inspirées des propres expériences vécues par Grace Ndiritu au cours de la dernière décennie, au sein et à proximité de communautés New Age qu'une approche individuelle et éclectique de la spiritualité caractérisent.

Via une multiplicité de thèmes allant des plantes à l’éducation en passant par la biologie, le chamanisme, la méditation, l’alimentation, la philosophie, les communautés, l’architecture, l’avenir des villes, la démocratie et l’activisme, The Ark vise à ouvrir un dialogue entre ses propres participants dans un premier temps, puis dans un second temps et au cours du week-end de conclusion avec un public plus large.

Afin de permettre aux participants de rentrer en profondeur dans ce processus d’expériences spirituelles et scientifiques, The Ark sera fermé au public pendant les six premiers jours. Ce temps d’isolement est pensé afin d’encourager la créativité et la vulnérabilité de chacun et pour permettre l'émergeance des façons nouvelles et radicales de penser la vie et les problèmes du monde d'aujourd'hui. Tous les invités seront amenés à participer aux propositions de chacun et à partager entre eux leurs savoirs et connaissances, qu’il s’agisse de conférences, séances de méditation, cuisine, performance, de communication non violente (NVC) ou d’atelier de poésie, etc.

L’ancien système de chakras védiques indiens constitue la base conceptuelle et énergétique du déploiement de la nature holistique de The Ark. Des ateliers spirituels quotidiens, des discussions académiques, ainsi qu’un calendrier de performances seront donc mis en place. Cet ancien système est aussi la source d’inspiration du design des uniformes, bannières, drapeaux et du menu alimentaire que les participants consommeront tout au long du projet The Ark.

Durant les cinq premiers jours du projet, The Ark sera donc fermé au public. Celui-ci pourra cependant suivre son évolution via les réseaux sociaux, Facebook et Twitter notamment. Par ailleurs, la semaine se concluera par un programme public sur les deux jours du week-end, les 8 et 9 juillet 2017.

Durant la semaine, The Ark organisera ses activités en quatre équipes :

L'Équipe Spirituelle sera celle qui au cours de cette semaine d’isolement concevra les pratiques de purification et les rituels énergétiques, afin d’élever la conscience de chacun individuellement et en tant que groupe, de sorte que de nouvelles idées et manières de penser les problèmes du monde soient produites tout au long de la semaine. L’équipe spirituelle sera composée de Grace Ndiritu (Kenya/UK), artiste, conçoit et met en oeuvre le projet The Ark et de Rebecca Farr (USA), artiste, mènera l’ensemble des ateliers spirituels de la semaine. 

L'Équipe Alimentaire s'inspirera de la politique de The Ark concernant la culture et la consommation d'aliments établies selon le système des Chakras (centres spirituels) afin d'aligner le programme alimentaire sur l’ensemble des activités du projet. Le projet est une plateforme qui envisage la nourriture comme médecine préventive et curative, et souhaite mener les participants à une prise de conscience de ces qualités. Ainsi, les cuisines végan, macrobiotique, ayurvédique, crue et la “wild cooking” seront quelques-unes des pratiques culinaires introduites tout au long de la semaine auprès des participants.
Les membres de l’Équipe Alimentaire sont Denise Palma Ferrante(Australie/Italie), chef cuisinier, concevra les menus et organisera la cuisine durant The Ark, Julian Cox (UK), jardinier, cultivera les aliments pour The Ark, Maxime Bichon (FR), sous chef cuisinier et artiste, se consacrera à la cuisine et aux pensées créatives durant The Ark et Sue Burge (UK), sous-chef cuisinier et poète, qui aidera en cuisine et mènera les nuits de Food Poetry pendant The Ark.

L’Équipe Art aura en charge la conception et la mise en oeuvre d’ateliers de performances quotidiennes pour tous les participants tout au long de la semaine. Le dernier atelier fera l’objet d’une représentation publique le samedi 8 juillet 2017 dans les rues d'Aubervilliers. Cette équipe comprend Urara Tsuchiya (Japon) et Anna Tanner (USA), artistes performeuses, qui mèneront les ateliers de performance pendant The Ark et Rafaela Lopez(FR), artiste, qui sera en charge de l'animation des réseaux sociaux au sein du projet.

L’Équipe Académique est pour sa part composée d’un groupe d'universitaires qui mènera conférences et expériences scientifiques tout au long de The Ark, préparant notamment la table ronde publique programmée le dimanche 9 juillet 2017. Pour cela, l'équipe est composée de Petra Carma (Slovenie), psychologue, se concentrera sur le pouvoir social et les cultes - via les dynamiques de groupes et individuelles - et sur les exercices de facilitation de construction communautaire avec les participants, de Gleb Vyacheslavovich (Russie), économiste, étudiera l’ensemble BRIC - Brésil, Russie, Inde et Chine - en effectuant des tests de dialogues interculturels et interracials avec les participants, de Eric Heist (USA), artiste, s’attachera à l’histoire des communautés dans le sillage de l’expérience scientifique Biosphère qui s’est déroulée entre 1987 et 1994 en Arizona, de Kayla Anderson (USA), artiste et théoricienne, interviendra sur l’Anthropocène, les théories Queer & Race, les relations inter-espèces et les communautés du Futur, de Edgardo I Garrido Perez (Panama/Mexique), biologiste, reviendra sur les communautés des plantes et des humains dans le cadre de The Ark et enfin de Margaret McLaren (USA), philosophe, sera plus spécifiquement attentive à l’Inde, aux Gender studies, à l'Économie et aux Communautés rurales.


 

Mots-clés: 

  • Résidence 2017
  • Extra Sensory Perception

Documentation filmée des séances / extraits

$
0
0
non
0

 

Depuis 2006, Laurent Pichaud vit un compagnonnage artistique, personnel et professionnel, auprès de la chorégraphe américaine Deborah Hay. Ancré à même la pratique, cette relation s’est développée au fil du temps sur plusieurs axes. C’est ainsi que, dans le cadre d’un cours à l’Université de Paris 8, où il est professeur associé, Laurent Pichaud a construit et mené une série de rencontres auprès des étudiants de Paris 8 ou d’un public plus large.

Ces rencontres publiques, accueillies aux Laboratoires d'Aubervilliers entre les mois de février et mars 2017 sous l’intitulé  Performer la recherche : cinq séances sur Deborah Hay, ont notamment permis à l’artiste-chercheur, danseur et chorégraphe, de déployer sur le mode de la performance et de la transmission les questions qui structurent sa propre recherche et sa propre démarche d’artiste.

L’ensemble de ces séances a fait l’objet d’une captation vidéo, dont chaque film est dans sa totalité consultable à la médiathèque du CND.

Quelques extraits de ces séances sont par ailleurs visibles ci-dessous en cliquant sur le lien de chacune de ces dates :

Mercredi 22 Février 2017 : Séance inaugurale – artiste où chercheur

Mercredi 1 Mars 2017 : Séance #1 – traverser en archives

Mercredi 8 Mars 2017 : Séance #2 – écrire en chorégraphe

Mercredi 15 Mars 2017 : Séance #3 – traduire en danseur

Mercredi 22 Mars 2017 : Dernière séance – Faire de l'in situ dans l'œuvre de Deborah Hay



Laurent Pichaud performe Deborah Hay dans le cadre de la séance inaugurale aux Laboratoires de son séminaire Performer la recherche : 5 séances sur Deborah Hay, le mercredi 22 février 2017 _ image tous droits réservés





be for the birds (variation II) / Silvia Maglioni et Graeme Thomson

$
0
0
oui
2. Juin 2017 - 20:00» 23:00
Friday 2nd June 2017, 8 p.m.



 

be for the birds (variation II)
Performance / Screening by Silvia Maglioni and Graeme Thomson

 

A mist-enveloped forest some 20 million years old, vestige of a world that existed long before human beings came along ; the whistling melodies of a language in danger of extinction ; the powers of exhaustion of two of the living-dead in flight from debt. With this scattering of seeds of fabulation, Silvia Maglioni and Graeme Thomson glide above the circumference of their new film in progress, Common Birds, and lead us into the fragile yet ever-expanding ecosystem of the birds, flitting from Aristophanes to Hitchcock, John Cage to François-Bernard Mâche to Merzbow.

Presented as part of the Printemps des Laboratoires Extra Sensory Perception event, this performance offers a journey through the research materials produced by Silvia Maglioni and Graeme Thomson during their common infra/ctions residency project. This is an intermediate stage in the development of their next film, with its geographical/linguistic shift from a Greece both ancient and contemporary to the island of La Gomera and its whistled language, Silbo.

 Silvia Maglioni and Graeme Thomson, Common Birds

 

This project was supported by CNAP Soutien à une recherche/production artistique

 


 

Standard

be for the birds (variation II) / Silvia Maglioni et Graeme Thomson

$
0
0
oui
2. Juin 2017 - 20:00» 23:00
Vendredi 2 juin 2017, 20h

 

 

be for the birds (variation II)
Performance / Projection de Silvia Maglioni et Graeme Thomson

 

Une forêt dans la brume, il y a 20 millions d’années, vestige d’un monde bien avant l’arrivée des êtres humains ; les sifflements d’un langage en voie de disparition ; la puissance épuisée de morts-vivants, en fuite de la dette. Avec cet éparpillement de graines de fabulation, Silvia Maglioni et Graeme Thomson survolent la circonférence de leur nouveau film en cours, Common Birds, et nous emmènent dans l’écosystème fragile mais toujours en expansion des oiseaux, voletant d’Aristophane à Hitchcock, de John Cage à François-Bernard Mâche jusqu’à Merzbow.

Présentée dans le cadre du Printemps des Laboratoires #5 / Extra Sensory Perception, cette performance propose un voyage parmi les matériaux de recherche produits au cours de leur résidence aux Laboratoires, « common infra/ctions ». Elle est une étape intermédiaire vers l’élaboration de leur prochain film qui mettra en scène un déplacement géographique autant que langagier, d’une Grèce, à la fois antique et actuelle, à l’île de la Gomera et sa langue sifflée.



 Silvia Maglioni et Graeme Thomson, Common Birds

 




Silvia Maglioni et Graeme Thomson ont reçu l'aide du CNAP Soutien à une recherche/production artistique

common infra/ctions - projet de résidence de Silvia Maglioni et Graeme Thomson aux Laboratoires d'Aubervilliers

 

 

Standard

Participez au projet de Lenio Kaklea !

$
0
0
oui
0

 

Questionnaire
Encyclopédie Pratique, collecte d'Aubervilliers 2017

 

L’Encyclopédie Pratique cherche à collecter une ou plusieurs de vos pratiques. Notre ambition est de créer une collection d’environ 1 000 pratiques, une vaste collection de techniques que chacun de nous invente pour survivre ou resister au quotidien, pour accepter ou transformer la réalité de son corps, que cette pratique soit fastidieuse ou joyeuse, intime ou collective.

Téléchargez le formulaire en cliquant sur l'image ci-dessous et contribuez à l’Encyclopédie Pratique, collecte d’Aubervilliers en nous retournant votre questionnaire rempli par email à p.simon@leslaboratoires.org



 


En ouvrant le questionnaire avec Acrobat il est possible de le remplir directement en ligne et d'ainsi le retourner par email sans avoir à l'imprimer.



 

Presentation

$
0
0
oui
Bibliothèque des Laboratoires

 



Since opening in 2001, Les Laboratoires d’Aubervilliers have gradually built up a specialised, singular collection of contemporary art books. Les Laboratoires pay special attention to documenting and archiving the projects carried out at the centre, and over the years they have put together an invaluable resource which serves as a testament to artistic creation in today’s international context. The Bibliothèque des Laboratoires d’Aubervilliers is open for public use during regular opening times or by appointment and the library catalogue can be accessed on the website.

 

The Bibliothèque des Laboratoires holds nearly 3000 books. It is a documentary and bibliographic resource on contemporary art for public consultation, including artists’ publications, exhibition catalogues, theoretical works, as well as a constantly evolving collection, added to with each new project supported by Les Laboratoires d’Aubervilliers. It is more than a documentary collection: it is a living space which serves both as a resource and support for the artistic projects developed at Les Laboratoires and an archive for public consultation, providing a trace of the creative projects developed at the centre and the reflective processes that have drawn on the collection.

ONLINE LIBRARY CATALOGUE

The project archives : In addition to building up this collection, Les Laboratoires d’Aubervilliers have also put together an archive of the projects developed at the centre over the last few years. The public can access the library catalogue online and an archive of all projects developed at Les Laboratoires since 2001 can be accessed on site. These unique archives, providing an invaluable professional and mediation resource, are open for public use by appointment only.

Les Laboratoires d’Aubervilliers is a constantly evolving site, at once a workspace for artists and a venue for public events and gatherings. 
Booking is advised in order to ensure availability of the work- and consultation space. The Bibliothèque des Laboratoires is also available for group bookings.


On site consultation of the book collection
Free entry / booking advised
(+33) 1 53 56 15 90
documentation@leslaboratoires.org
Les Laboratoires d’Aubervilliers
41 rue Lecuyer / 93300 Aubervilliers
www.leslaboratoires.org

Opening times
Consultation of the documentary collection: Monday to Friday, 11 am to 5.30 pm
Consultation of project archives: by appointment only



ESP (Extra Sensory Perception)

$
0
0
oui
Le Printemps des Laboratoires #5



Le Printemps des Laboratoires est une plateforme de recherche partagée conçue par Dora García, Alexandra Baudelot et Mathilde Villeneuve, co-directrices des Laboratoires d’Aubervilliers. Celle-ci rassemble tout au long de l’année un public actif, invité à échanger expériences et connaissances lors d’ateliers de lecture, de séminaires et divers évènements publics (projections de films, performances, rencontres) programmés en fonction d’une problématique particulière afférente à l’art mais débordant son cadre. Elle offre ainsi la possibilité de penser ensemble, depuis un contexte artistique, les questions sociales et politiques actuelles. Elle permet aussi de tisser de manière transversale des liens entre les différents projets menés par les artistes en résidence aux Laboratoires et d’ainsi mieux saisir les enjeux critiques qui les relient.

La quatrième édition du Printemps des Laboratoires, La Psychotropification de la société, formulait en 2016 le constat d’une augmentation exponentielle de la médicamentation dans le cadre de traitement des troubles mentaux, pour réfléchir plus largement aux effets de normalisation et de contrôle et explorer le rapport que la société entretient à la maladie et la folie et observer comment des personnes et communautés concernées créent des stratégies de contournement pour inventer d’autres modalités d’existence.

Cette édition a ouvert un champ très vaste que nous avons souhaité continuer à explorer pour ce cinquième Printemps des Laboratoires. Sous l’intitulé Extra Sensory Perception, nous poursuivons cette année nos réflexions via les ateliers de lecture quinzomadaires ainsi que le séminaire mensuel « Pratiques de soin et collectifs » et plusieurs autres rencontres publiques. Tout au long de ces séances, via des lectures, workshops et performances, nous nous intéressons à la manière dont notre société peut faire de la place  - politiquement, socialement, juridiquement - à des expériences hétérogènes et mineures. À travers l’intitulé des “perceptions extra sensorielles” nous explorons les perceptions et les conceptions d’un monde multiple et sensible, en deçà ou au-delà d’une approche rationnelle. Ce qui implique de repenser et remodeler en partie nos agencements quotidiens, les découpages des catégories qui ont jusqu’alors architecturé notre espace mental, d’outrepasser les clivages entre monde sensible et intelligible, entre entités visibles et invisibles.

C’est en revisitant l’héritage d’une rationalité occidentale (et avec elle notamment la prédominance psychiatrique de l’interprétation de la folie), en allant puiser dans des pratiques qui se déploient à la marge des centres du pouvoir (du rapport à la nature en milieu urbain, de l’écologie et du soin), en mettant en commun des expériences singulières (de communautés chamaniques, de luttes contre l’effet néfaste des ondes électromagnétiques...) que nous pouvons commencer à nous équiper de nouveaux outils qui nous aident à redéfinir nos subjectivités sans créer de séparations entre elles, à réhabiliter des formes d’hospitalités en vue de rendre nos sociétés plus habitables et respirables.

Depuis le début de ce cycle ESP démarré en octobre 2016 nous dressons une bibliographie collective. Celle-ci nous a projeté tour à tour dans l’exploration des identités cyborgs féministes, nous rendant davantage attentif à la complexité des communications animales et à notre rapport aux entités non-humaines. Nous avons cherché ce qui se loge dans l’ombre, nous nous sommes exercés à des formes de télépathie collective, nous nous sommes imprégnés des mots des autres en explorant ceux qui s’absentent d’une langue à l’autre et qui font défaut à l’appropriation de nos expériences, nous avons cherché à actualiser les formes de communalités révolutionnaires passées et en particulier celles qui ont ponctué une grande partie du XIXème siècle en France. Ou encore, nous avons pensé les formes constructives de dépossession (celle d’une vulnérabilité commune) contre celles contraintes (les expropriations, les assignations identitaires...). à chaque fois, ceci est aussi l’occasion de proclamer notre croyance et confiance renouvelées dans l’art et la poésie, tels des lieux ingouvernables, pleins d’une puissance de dérèglements, de désobéissance et d’imagination de nouvelles fictions politiques.

Dans le cadre de la programmation du Printemps des Laboratoires nous intensifions l’exploration de ces pistes d’avril à juillet 2017 avec plusieurs événements publics proposés à la fois par des artistes et par des chercheurs.




_________________________

Ce projet reçoit le soutien de l'Adagp et de Copie privée.

 

Mots-clés: 

  • Le Printemps des Laboratoires #5
  • Plateforme de recherche partagée

Documentation & Archives

$
0
0
oui
Bibliothèque des Laboratoires


Pour consulter le catalogue en ligne de la Bibliothèque des Laboratoires, cliquez sur le lien ci-dessous :

CATALOGUE DE LA BIBLIOTHEQUE EN LIGNE




Depuis leur ouverture en 2001, Les Laboratoires d’Aubervilliers collectent des ouvrages afin de constituer un fond précis et particulier sur l’art contemporain. Attentifs au travail d’archivage autour des projets réalisés aux Laboratoires, ils créent une ressource précieuse, témoin de la création de projets artistiques dans le contexte contemporain international. La Bibliothèque des Laboratoires d’Aubervilliers est accessible aux horaires d’ouverture du lieu ou sur rendez-vous, le catalogue est consultable depuis le site.

 

La Bibliothèque des Laboratoires référence près de 3 000 ouvrages. Ressource documentaire et bibliographique en matière d’art contemporain, elle met à disposition pour consultation, et pour tous ceux qui le souhaitent, des éditions d’artistes, des catalogues d’expositions, des ouvrages théoriques, ainsi qu’un fonds en transformation permanente, alimenté au gré des projets portés par Les Laboratoires d’Aubervilliers. Plus qu’un fonds documentaire, il s’agit là d’un espace vivant qui se pose à la fois comme point d’appui pour les projets des artistes mais aussi comme archive pour le public des Laboratoires, trace des créations engagées et des processus de réflexion qui y ont pris leur source.

CATALOGUE DE LA BIBLIOTHEQUE EN LIGNE

Les archives des projets : En parallèle de la constitution de son fonds, Les Laboratoires d’Aubervilliers ont également constitué une archive des projets développés depuis quelques années. Un poste de consultation sur place est à la disposition du public permettant l’accès au catalogue en ligne mais également aux archives des projets des Laboratoires depuis 2001. Richesse en terme de ressource professionnelle et de médiation, ces archives très particulières sont consultables uniquement sur rendez-vous.


Autant espace de travail pour les artistes, que lieu de rencontres publiques, Les Laboratoires d’Aubervilliers sont un lieu en mouvement. Aussi, et afin de s’assurer de la disponibilité de l’espace de travail et de consultation, il est préférable de réserver. La bibliothèque des Laboratoires d’Aubervilliers peut également accueillir des groupes de travail.


Consultation des ouvrages sur place
Entrée libre / réservation conseillée
01 53 56 15 90
documentation@leslaboratoires.org
Les Laboratoires d’Aubervilliers
41 rue Lecuyer / 93300 Aubervilliers
www.leslaboratoires.org

Horaires d’ouvertures
Consultation du fonds documentaire : du lundi au vendredi de 11h à 17h30
Consultation des archives des projets : uniquement sur rendez-vous



Viewing all 2458 articles
Browse latest View live




Latest Images